mercredi 15 juin 2011

Pédophilie : 25 Techniques De Désinformation

Décodage de 25 techniques de désinformation

Voici quelques techniques courantes utilisées par différents organes de pouvoir – publics ou privés –cherchant à occulter des vérités qui dérangent. Il est utile de garder ces concepts à l’esprit lors de la lecture d’informations relatives à des sujets controversés (ils sont nombreux) … pour autant, règle n°1, que vous sachiez même qu’ils le sont. Faites le test. Vous serez sans doute surpris de constater à quel point ces procédés percolent au travers de nombre de propos tenus par des instances officielles, des « experts» et par extension de nombreux médias.


Technique n°1 : Évitement

Ne pas écouter la controverse, ne pas la voir, ne pas en parler. Si elle n’est pas rapportée, elle n’existe pas et il n’y a pas lieu de s’en occuper.


Technique n°2 : Superficialité

N’aborder la controverse qu’en périphérie, sur des points mineurs voire pittoresques. Eviter soigneusement les points clés de l’argumentation.


Technique n°3 : Indignation

Rejeter le sujet de façon indignée ("jamais une chose pareille ne serait possible"). Jouer sur le sentiment d’incrédulité ("il y aurait eu des fuites", "ça se saurait", …)


Technique n°4 : Rumeur

Considérer la controverse comme une rumeur de plus, sans fondements, quels que soient les arguments présentés.


Technique n°5 : Homme de paille

Présenter la position de son adversaire de façon volontairement erronée, en sélectionnant son argument le plus faible, en amplifiant sa portée puis en le détruisant.


Technique n°6 : Messager

Décrédibiliser le porteur du message. Par extension, associer les opposants à des dénominations impopulaires telles que « excentrique », «extrême-droite », « gauchiste », « terroriste », «conspirationniste », « radical », « fanatique », ou même « blonde »etc…


Technique n°7 : Biais

Exacerber tous les faits qui pourraient donner à penser que l’opposant opère en dissimulant ses véritables intentions ou est sujet à tout autre forme de biais.


Technique n°8 : Confusion

Quelque soit le niveau de la polémique mais sans y faire référence, confirmer la thèse officielle par un communiqué laconique sur une nouvelle étude favorable et rassurante.


Technique n°9 : Autorité

S’associer à l’autorité (organismes internationaux etc.) et présenter ses arguments avec suffisamment de jargon, de détails techniques et de sources pour les crédibiliser.


Technique n°10 : Innocence

Faire l’innocent. Quelle que soit la solidité des arguments de l’opposant, éviter la discussion en leur contestant toute crédibilité, toute existence de preuves, toute logique ou tout sens. Mélanger le tout pour un maximum d’efficacité.


Technique n°11 : Amalgame

Associer les charges de l’opposant à des charges farfelues facilement réfutables, qu’elles soient antérieures ou le fait d’autres opposants. En y étant associées, les charges subséquentes, quelle que soit leur validité, sont alors beaucoup plus facilement discréditées.


Technique n°12 : Diviser

Diviser pour mieux régner et par extension mettre l’accent sur les différences entre les différents courants des opposants et l’impression de chaos que cela procure.


Technique n°13 : Pseudo-débat

Présenter la version de l’opposant en premier lieu puis démentir par une succession de déclarations issues de sources faisant apparemment autorité.


Technique n°14 : Confession

Admettre avec candeur que des manquements (mineurs) ont été identifiés et que des solutions ont été apportées. Les opposants cependant en ont tiré parti pour gonfler la controverse et tenter de démontrer ce qui n’existe pas.


Technique n°15 : Édulcorer

Utiliser des termes techniques sans contenu émotif pour décrire le problème.


Technique n°16 : Énigme

Les énigmes n’ont pas de solution. Étant donné la multitude des paramètres, des intervenants et de leurs interactions, le sujet est bien trop complexe pour ne pouvoir être jamais résolu. Une technique couramment utilisée pour décourager ceux qui cherchent à suivre…


Technique n°17 : Solution complète

Éviter le problème en exigeant de l’opposant qu’il fournisse une solution complète à la résolution de la controverse.


Technique n° 18 : Omission

Omettre des preuves, des publications ou des témoignages contraires. S’ils n’existent pas, ce ne sont pas des faits, et le sujet ne doit pas être couvert.


Technique n°19 : Sang froid

Amener l’opposant à argumenter dans une position difficile et jouer sur sa perte de sang froid pour le décrédibiliser.


Technique n°20 : Expertise

"You don’t bite de hand that feeds you", disent les Anglais. Créer son propre groupe d’experts et le financer directement ou indirectement.


Technique n°21 : Preuve impossible

Ignorer les preuves présentées par l’opposant comme étant non pertinentes et lui demander des preuves inaccessibles, que ce soit matériellement (non disponibles ou soustraites au regard du public), techniquement (années de recherche) ou financièrement.


Technique n° 22 : Déni

Dénier toute crédibilité ou être extrêmement critique vis à vis de publications, de témoignages ou même de propos officiels d’organes de pouvoir, en les désignant comme des « sources non valides » ou « des éléments sortis de leur contexte».


Technique n°23 : Fausse preuve

Introduire des éléments contradictoires par rapport à l’argument de l’opposant, au besoin en fabriquant de fausses preuves, par exemple sous la forme d’études scientifiques au protocole particulièrement étudié.


Technique n°24 : Grand Jury

Organiser un grand jury ou des états généraux avec tous les atours de la consultation la plus large et la plus ouverte qui soient. Neutraliser ensuite les sujets qui fâchent et présenter le rapport final comme étant l’état du consensus général.

Technique n°25 : Diversion et distraction
Créer l’évènement ailleurs pour distraire et écarter l’attention du public.

France, Pédophilie Dans Les Hautes Sphères

           

                                     1970

« Les 27, 28 et 29 janvier, devant la cour d’assises des Yvelines vont comparaître pour attentat à la pudeur sans violence sur des mineurs de quinze ans, Bernard Dejager,Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt, qui arrêtés l’automne 1973 sont déjà restés plus de trois ans en détention provisoire. Seul BernardDejager a récemment bénéficie du principe de liberté des inculpés.
Une si longue détention préventive pour instruire une simple affaire de « mœurs » où les enfants n’ont pas été victimes de la moindre violence, mais, au contraire, ont précisé aux juges d’instruction qu’ils étaient consentants (quoique la justice leur dénie actuellement tout droit au consentement), une si longue détention préventive nous parait déjà scandaleuse. Aujourd’hui, ils risquent d’être condamnés à une grave peine de réclusion criminelle soit pour avoir eu des relations sexuelles avec ces mineurs, garçons et filles, soit pour avoir favorisé et photographié leurs jeux sexuels.

Nous considérons qu’il y a une disproportion manifeste d’une part, entre la qualification de « crime » qui justifie une telle sévérité, et la nature des faits reprochés ; d’autre part, entre la caractère désuet de la loi et la réalité quotidienne d’une société qui tend reconnaître chez les enfants et les adolescents l’existence d’une vie sexuelle (si une fille de treize ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire ?) La loi française se contredit lorsqu’elle reconnaît une capacité de discernement d’un mineur de treize ou quatorze ans qu’elle peut juger et condamner, alors qu’elle lui refuse cette capacité quand il s’agit de sa Vie affective et sexuelle.
 Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit. Nous ne comprendrions pas que le 29 janvier Déjauger, Gallien et Burckhart ne retrouvent pas la liberté. »

Liste des signataires

 
Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Judith Belladona, docteur Michel Bon, psychosociologue Bertrand Boulin, Jean-Louis Bory, François Chatelet, Patrice Chéreau, Jean-Pierre Colin, Copi, Michel Cressole, Gilles et Fanny Deleuze, Bernard Dort, Françoise d’Eaubonne, docteur Maurice Erne, psychiatre Jean-Pierre Faye, docteur Pierrette Garrou, psychiatre Philippe Gavi, docteur Pierre-Edmond Gay, psychanalyste docteur Claire Gellman, psychologue, docteur Robert Gellman, psychiatre André Glucksmann, Félix Guattari, Daniel Gurin, Pierre Guyotat, Pierre Hahn, Jean-Luc Henning, Christian Hennion, Jacques Henric, Guy Hocquenghem, docteur Bernard Kouchner ( !!!), Françoise Laborie, Madeleine Lak, Jack Lang, Georges Lapassade, Raymond Lepoutre, Michel Leyris, Jean-François Léotard, Dionys Mascolo, Gabriel Matzneff, Catherine Millet, Vincent Montail, Docteur Bernard Muldworf, psychiatre Négrepont, Marc Pierret, Anne Querrien, Grisldis Ral, François Régnault, Claude et Olivier Revault d’Allonnes, Christiane Rochefort, Gilles Sandier, Pierre Samuel, jean-Paul Sartre, René Schérer, Philippe Sollers, Gérard Soulier, Victoria Therame, Marie Thonon, Catherine Valabrgue, docteur Gérard Valls, psychiatre Hélène Védrines, Jean-Marie Vincent, Jean-Michel Wilheim, Danielle Sallenave, Alain Cuny.

France Pédophilie : Hommage Aux Courageux Citoyens


France, Criminalité Organisée Sur Nos Enfants.
Magistrature Criminelle.

Hommage aux courageux citoyens qui dénoncent le crime sur nos Enfants en France.
Hommage aux victimes anonymes.

Politiques, hommes et femmes, qui ne faites rien depuis des années, malgrè le rapport courageux et dramatique de Juan Miguel Petit de l'ONU sur l'Enfance maltraitée en France.

"Loge-maçonnique : Mafia" (Juan-Miguel Petit).

Pour voir la vidéo : http://pedopitchoun2.blogspace.fr/2433556/Hommage-Aux-Courageux-Citoyens/

France Réseau Pédophile Satanique



Victims of the paedocriminal network Zandvoort testify


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Victimes du réseau pédocriminel Zandvoort témoignent
Marcel Vervloesem vous répond... Le magistrat déculotté identifié sur l’un des cédéroms de Zandvoort avec Nordine (11 ans), apparaît avoir un rôle central dans la machination qui a prévenu que les criminels du réseau ne répondent pas de ce qu’il appelle lui-même un crime contre l'humanité. Les 100.000 photos de pornographie et actes de barbarisme sur des enfants apparaissent n’être qu’un pale reflet d’au moins le double de victimes : des mères et des pères, qui dés qu’ils ont suspecté avoir un pervers dans leur entourage, ont été happés par une spirale de violences, dans le cadre d’un système qui les condamne pour des crimes dont ils refusent de se rendre complice. Ils sont terrorisés jusqu'à être convaincus de fuir, puis condamné à de lourdes peines de prison pour enlèvement parental. Des enfants qui ne se connaissent pas, qui vivent à des milliers de kilomètres l'un de l'autres, ont parlé de cérémonies macabres costumées, avec des meurtres d'adultes. Il s'agit vraisemblablement ce qui arrive aux parents qui ont eut le malheur de quitter leurs proches en parlant de "changement d'identité".
Des mères, possiblement des centaines, peut-être des milliers ont été objet de viols et de tabassages. L’une décrit un viol collectif commandé, sous la surveillance du pédocriminel dont elle cherchait à protéger sa fille. Leurs enfants ont continuellement des "accidents". Elles ont toutes été objets de surveillances, le plus visible possible. Elles ont toutes vu un déploiement de moyens peu commun: voitures et camionnettes munies d'antennes et caméra vidéo, ainsi que des micros branchés aux prises
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des sèche-cheveux. Tout est calculé pour faire croire qu'il s'agit de services policiers. Nul n'imagine qu'il pourait s'agir d'une mise en scène payée par le réseau, car la corruption de policiers ne fait aucun doute. Il s'agit d'un contrat, payé 250.000-euro, pour terroriser le parent protecteur et ceux susceptibles de les aider. C'est bien payé, considérant que si meurtre il y a, il est exécuté par une bande de psychopathes, mais c'est bon marché, considérant que cela épargne la prison au contractant et lui permet de continuer l'exploitation de l'enfant. Les parents frappent à toutes les portes, mais les seuls qui ouvrent leurs portes assurent que le défaut d'assistance de la police relève d'une décision politique pour protéger des hautes personnalités impliquées dans le réseau. Ce n'est pas loin de la vérité: il s'agit d'une décision politique de psychopathes parmi ces personnalités, mais pas des autorités. Une organisation, officiellement partenaire du magistrat déculotté et de Child Focus, a proposé à une mère d'aller à Nice, dans le Midi de la France, où elle obtiendrait des aides financières pour changer l'identité de sa famille pour se réfugier aux Etats-Unis. En d'autres termes, cette organisation offre des faux passeports, mais pas de fausses cartes vertes pour vivre légalement sur le territoire américain. Le "Comité International de la Dignité de l’Enfant" - CIDE, a été fondé par George Gladtz, membre du parlement suisse et fonctionnaire du Service de la Protection de la Jeunesse. Il promettait "l'asile politique" en Suisse, où le psychiatre Gérard Salem, président de la Commission vaudoise de prévention des mauvais traitements, qui sera sollicité en qualité d’expert, pour constituer un dossier solide comme du roc. Plusieurs communautés religieuses dans la même région leur offraient le gîte et le couvert, ce qui explique que les victimes ont des expériences différentes, du meilleur au pire.
Epuisées et terrorisées, toutes les victimes tombent dans un piège où un autre, puis se retrouvent objets de mandat international avec ordre d'arrestation immédiate pour enlèvement parental. Elles sont alors jetées en prison et déchues de leurs droits parentaux, qui reviennent au parent que l'enfant accuse d'abus sexuels. Ils ne sont libérés qu'à la majorité, détruits autant que possible, de manière à ce qu'il suffise de leur souffler dessus pour les convaincre de renoncer à demander justice.
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Nonettes et experts ont vu année après année, l'asile politique refusé à ces femmes, au motif qu'elles étaient originaires d'un état démocratique. Ils ont accueilli ces enfants, sans jamais conseiller à leur mère de rentrer au plus vite avant que le piège ne se referme. Georges Glatz et Gérard Salem viennent d'être éclaboussés par un scandale de pédopornographie en Suisse, comme experts, donc rien d'assez sérieux pour les envoyer en prison.
Ces vérités judiciaires qui coûtent 250.000-euro
Toutes les affaires rapportant assez d’argent peuvent être juridiquement traitées par les maffias à ce prix. Ceci comprend les affaires sans rapport avec les réseaux pédocriminels. Il en est ainsi pour une vieille dame fortunée qui habite Bruxelles (Belgique). Sa fille unique a demandé qu’elle soit protégée par une tutelle, car elle vit à Montpellier (France) et elle a un oncle très gourmand. L'administrateur dans la poche de l'oncle, toute sa fortune s’évapore sans que les juges ne veuillent voir ce qui ce passe. Si l'oncle parvient à "convaincre" un juge de faire interner la fille en psychiatrie après le décès de sa mère, 250.000 euro est peu cher payé pour un gros bénéfice. Les jugements Zandvoort sont précédés d'appels téléphoniques anonymes de personnes qui engagent la conversation en se disant victimes de faits similaires. Des dérapages dans ces conversations font apparaître que l'anonyme connaît aussi bien l'avocat de la partie adverse, que le contenu du dossier. Un jugement de la Cour d'Appel de Bruxelles pourrait révéler que l'avocat de la partie adverse rédige luimême la vérité judiciaire que les magistrats doivent prononcer. Ils ont statué sur une faute que la victime avait racontée lors du téléphone anonyme, mais qui était absente des conclusions de son avocat. Marcel Vervloesem a collé des pages de son dossier avec une pointe de Typex. Elles collent toujours, donc elles n'ont jamais été lues. La majorité des magistrats qui traitent ces affaires sont suspectés multiplier les fautes de procédure en raison de chantage ou de menaces, mais sans imaginer le crime contre l’humanité auquel leur confrère déculotté fait référence, selon des sources proches de Scotland Yard. D’autres juges soulèvent de sérieuses questions. On constate par exemple, que le magistrat déculotté, prédateur du réseau Coral, est membre d’une association du magistrat de la Cour de Cassation, qui n’a vu aucune faute de procédure dans le fait de confier un enfant présumé victime du même réseau Coral, à la garde de son père qu’il accuse d'abus. Toutes les victimes de Zandvoort ont vu les pièces principales de leurs dossiers qui disparaissaient. Des mères racontent avoir été entièrement dépossédées leurs biens, réduites à vivre du minimum vital. Des pères racontent avoir été jetés en prison, sans comprendre un mot de ce qui leur était dit, des magistrats les jugeant susceptibles d’être "chef d'un réseau pédophile".
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Une jeune femme témoigne d’une cabale pour la mettre sous tutelle dés sa majorité. L’administrateur percevait ses allocations, l'obligeait à mendier pour vivre et refusait de traduire en justice, son père adoptif qui l’avait torturé toute sa jeunesse et sa mère adoptive complice. Une mère dit que 90% des avocats se débinent, où oublient des éléments capitaux dans leurs conclusions. Aucune, à sa connaissance n'ont gagné le recours au Tribunal Européens des Droits de l’Homme, de façon à ce qu'elle n'a trouvé inutile d'essayer. Les victimes Françaises parlent d’expertises faites en violation de la loi française, avec un seul expert les accablant d'absurdités durant la totalité des procédures. Plusieurs victimes belges parlent également d’expertises les présentant comme de dangereux psychopathes susceptibles d'avoir abusé de leurs enfants, qui expliquent que ces enfants ont accusé l’autre parent du fait qu’ils auraient été aliénés. Une mère française raconte que le médecin de la prison l’avait fait interner en psychiatrie après une tentative de suicide. Elle avait reçu de tels surdosages de médicaments, qu’elle s’en était retrouvée couvertes de plaques brunes et d’œdèmes. De retour à la prison, ce médecin lui a dit : Oh… je n’ai jamais vu un œdème plus gros ! Et comme elle ne prenait pas les médicaments, il ordonnait qu'ils lui soient injectés de force. Elles sortent de prison à l’état de légume. Toute n'ont pas la force de se désintoxiquer. Les 10 et 17 juin 1998, Marcel Vervloesem membre de l’association belge Werkgroep Morkhoven, mettait main sur 21 cédéroms chez le pédocriminel, qui vendait ces images sur Internet. Il remit le premier cédérom à la justice belge devant les caméras de la presse internationale le 24 août 1998.
Gina Bernard n'avait aucune expérience, mais la rage au cœur pour aider à démanteler ce réseau. Elle a donné le premier cédéroms de 8500 photos au journaliste Serge Garde et diverses organisations internationales dont le CIDE, dit Marcel Vervloesem avec tristesse.
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Gina Bernard a été objet d'un contrat identique à celui décrit par les mères victimes de Zandvoort: filature, téléphones anonymes et son fils renversé par une voiture. Elle a été assassinée 15 novembre 1998, sa voiture s'écrasant sans laisser de trace de freinage.
En 1999, l’UNESCO a fait une réunion d’experts sur l’exploitation sexuelles des enfants et la pédo pornographie sur Internet. Federico Mayor, alors directeur général, oublia d’inviter Marcel Vervloesem, mais il nomma une jolie poupée, Mme Sellier "Présidente du Mouvement Mondial de Citoyens pour Protéger l’Innocence en Danger". Le magistrat déculotté venait d’installer à Genève, la succursale d’une de ses nombreuses organisations en faveur de l’enfance. Serge Garde, qui a reçu le cédérom avant le 14 novembre 1998, ne déclancha le scandale Zandvoort en France, que le 24 février 2000, dans le journal l’Humanité. Le ministre de la justice français, qui semble souffrir de trous de mémoire épouvantables, fit un appel à la nation, pour obtenir le cédérom qu’elle avait reçu un an plus tôt. Ceux qui soupçonnaient que leurs enfants figuraient au fichier, furent orientés vers le "Mouvement Mondial de Citoyens pour Protéger l’Innocence en Danger", et non au Werkgroep Morkhoven, qui pouvait leurs apporter les pièces susceptibles de démontrer si leurs enfants étaient tombés entre les mains de ce réseau. Le CIDE était devenu une fondation d’utilité publique. Parmi les manoeuvres de séduction pour attirer la confiance, il y a de donner des pièces à conviction, qui seront anéanties par des menaces aux juges ou des juges corrompus, qui auront charge du dossier.
Le CIDE, qui collectionne les dossiers, possédait la dénonciation du réseau Coral 1982 par Jean-Claude Krief. Elle est illustrée d'une photo du magistrat déculotté, qu'il identifie en toutes lettres avec Nordine. Le cédérom fait apparaître que cette photo a été achetée par un magazine brésilien, qui fait passer
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Nordine pour un enfant latino-américain. George Glatz a donné copie de ce document au Werkgroep Morkhoven, mais pas à Patricia Poupard, alors que les mêmes déclarations de Jean-Claude Krief font apparaître que son fils et elle pourrait être victimes de la même branche du réseau. Elle téléphonera au magistrat déculotté pour lui demander de l'aide, sans imaginer une seconde qu’il figure sur le même cédérom que son fils. Il était affable au début, puis coupait sèchement :- Prenez un avocat ; écrivez aux magistrats. Mr Bertossa, Procureur à Genève a invité Patricia Poupard, par commission rogatoire, à visionner le 14 juillet 2000, les vingt-et-un cédéroms, sans pour autant les avoir obtenu du Werkgroep Morkhoven. Marcel Vervloesem était alors poursuivi pour avoir possédé le premier cédérom de pédopornographie donné à Serge Garde et les organisations internationales par Gina Bernard-Pardaens. Il n’avait jamais eu l’intention de commander son propre meurtre ou de donner à la justice belge un justificatif pour le condamner, en donnant les vingt autres cédéroms en dehors d’un cadre strictement officiel. Il ne les a donné que le 4 mars 2001 au procureur Bourlet, sur base de la nouvelle loi européenne qui demandait aux pays membres de faciliter la remise de tel matériel aux autorités. Par conséquent, la Suisse n'avait donc pas ces vingt cédéroms le 14 juillet 2000. Pourtant, Bernard Valadon, qui gérait un site Internet pour la diffusion d’articles sur la pédo criminalité, a assuré avoir eu copie des vingt-et-un cédéroms. Il en a fait une description détaillée, les disant comporter 77.000 photos, dont 8.500 dans le premier cédérom. Il a dit les avoir donné à un magistrat à Paris. Il semblait raconter des sornettes pour se faire de la publicité, mais les victimes de Zandvoort confirment que vingt-et-un cédéroms leur ont bien été montré. On peut donc en conclure qu’il y a deux fichiers différant: 1. Le fichier ZANDVOORT avec 8.500 fichiers sur le cédérom remis à Turnhout + 93.000 fichiers remis au Procureur Bourlet, soit 101.500 fichiers. 2. Le fichier GLATZ avec 77.000 fichiers déduit des 8.500 fichiers en provenance de Zandvoort, soit 68.500 fichiers d'origine inconnue. Interpol définira la différence entre ces fichiers. Les questions sont: où, quand et comment ce membre du parlement suisse s’est-il procuré ces 68.500 photos de crimes contre les enfants ? Le rush des mères est survenu en juillet 2002, après un battage médiatique sur une mère française expulsée de Suisse qui a été retrouvé morte éventrée à la frontière franco-suisse. Une exécution, telle que les enfants en témoignent, mais le cadavre mis en évidence pour exacerber la terreur. Des hommes se présentaient alors chez les victimes et n'avaient pas de mal à les convaincre de fuir. Comme on doit prouver qu'on est persécuté pour avoir l'air d'être du bon côté, Georges Glatz a eu un procès de pacotille. Comparez les condamnations et vous verrez qui est qui: 1000 francs suisses pour "complicité d’enlèvement d’enfants de moins de 16 ans". Il avait alors appelé Marcel Vervloesem pour
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se poser en martyr, mais sans lui signaler qu’il s’agissait de victimes de Zandvoort. Il a été libéré en appel, la Cour ayant souligné qu’il avait agi "uniquement pour des motifs plus qu’honorables". Le Werkgroep Morkhoven n'a découvert l'holocauste qu'au hasard d'une recherche Internet, par une mère qui appelait au secours sur un forum. Normalement, leurs messages sont effacés, disent-elles, ce qui rappellent nos douze sites détruits par piratage en trois ans. Les parents n'ont pas compris pourquoi nous n'avions jamais parlé d'eux. Pas une seule organisation ne nous averti. La justice belge s'est donnée une peine folle pour nous faire croire que nous n'avions que des enfants abandonnés, où avec des parents fous qui nous attaquaient. Le Procureur TACK est allé jusqu'à expliquer que le dossier Zandvoort était une grosse bulle vide: une bulle crevée. Nous avons bien vu des sites Internet qui mélangeaient le vrai et le faux, qui soutenaient les mères en fuite, mais sans jamais mentionner Zandvoort. Ces mêmes sites avaient des pages "spéciales diffamations" sur toutes les personnes susceptibles de les aider, avec une place d’honneur pour Marcel Vervloesem et le Palais Royal belge. Nous pensons que le courrier au Roi et à la Reine concernant ces affaires ne leur parvient pas. Frédéric Lavachery, qui cherchait contact avec toute les victimes, est considéré comme le champion des diffamateurs, depuis qu’il a accusé le roi de pédophile, sur base d’une prétendue analyse comparative de fesses. Aucun magistrat n’osa prétendre que le Roi avait montré son derrière à Lavachery, pour qu’il puisse le comparer à celui de la photo. Un mandat international a été dressé à son encontre, mais Frédéric Lavachery était si sur de ses protections, qu’il pensait pouvoir inviter une princesse de Croÿ à un rendez-vous sur les marches du palais de justice de Bruxelles. Depuis, il bénéficie d’un asile pédo politique en France, où il vit dans une maison achetée avec le fruit de ses calomnies sur le Roi, sans que cela ne cause de scandale diplomatique. Soyons clairs: les maffias ne s’intéressent qu’aux contrats exécutables rapidement pour un maximum d’argent en un minimum de temps. Elles ne perdent pas leur temps à des meurtres rituels, ni a des petites guerres sur Internet ou des menaces téléphoniques anonymes. D'autres personnes se chargent de ça. Ils sont conscients de commettre des délits, tels que diffamations, piratages et menaces, ce qu'ils trouvent très drôle de pouvoir faire en toute impunité. Certains ignorent possiblement être la cheville ouvrière d'un crime de masse. Parmi eux, une grosse femme pleine de boutons, épouse d’un énergumène qui se rase de la tête au pied pour prendre des bains de soleil en string; une vieille corneille qui dit souffrir d’une multitude de maladies mortelles et a multiplié ses identités, pour faire croire qu’une victime avait assassiné sa fille; un crapaud qui se prend pour un bœuf, et se vante de faire détruire des sites Internet sous prétexte qu’il y aurait été diffamé; un motard qui se dit professeur et envoyait une photo de son derrière nu, avec un signal routier coincé entre les fesses. Ce ne sont que des caricatures. Certains d'entre eux ont lancé une attaque en bonne et due forme du service de médiation du Parlement Européen en matière d’enlèvement parental international. Ce qui ne semblait avoir aucun sens, devient
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clair. Si toutes les mères qui s'enfuient de terreur appellent Evelyne Gebhardt, Médiatrice du Parlement Européen pour les Enlèvements Parentaux Internationaux, ou sa collaboratrice Magdalena Kleim pour leur expliquer ce qui les a pousser à fuir, qui leur a promis quoi pour les persuader de fuir, où sont-elles et à quel prix, la question sera très vite réglée au plus haut niveau de l'Europe. Leur mission ne leur permet que de s'occuper des mères actuellement en fuite à l'étranger, mais la Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti prend contacte avec le Parlement Européen pour étudier ce qui peut être fait pour les victimes jugées et qui vivent dans la terreur, leurs enfants aux mains du réseau. Honte à vous, magistrats, avocats, journalistes et garants de la démocratie, qui avez participé à cela en fermant les yeux. A présent que vous ne pouvez plus prétendre ignorer ce dont vous avez été l'outil, vous serez le poignard qui égorgera la prochain père ou éventrera la prochaine mère; vous serez la main qui paiera l'argent aux petites crapules qui violent des femmes afin que des psychopathes puissent continuer leurs cérémonies débiles. L'un d'eux se vante de couper 25 têtes l'an. A votre bonne conscience! Parents victimes de Zandvoort: écoutez Marcel Vervloesem. Ne quittez jamais votre pays, mais changez de région, de manière à obliger votre ex de payer un nouveau contrat de 250.000-euro.
SOS ZANDVOORT VICTIMS
Papas et Mamans qui avez enlevés vos enfants pour les sauver du réseau: faites confiance à Magdalena KLEIM du Parlement Européen. C'est une amie ; elle est juriste et son service vous aidera.
Magdalena Kliem - C/O Parlement Européen ADRESSE : ASP 05G302 - Rue Wiertz - B-1047 Brussels, Belgium EMAIL: MediationChildAbduct@europarl.
Si vous suspectez que vos enfants sont sur l'un des cédéroms de Zandvoort; si vous avez été poussé à fuir pour échapper à des menaces ou condamné dans des jugements anormaux, contactez-nous.
Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti ADRESSE: Rue Faider, 10 - 1060 Bruxelles EMAIL: fondation.princesse.de.
europa.eu
Fax: 0032 2 283 2042

croy@droitfondamental.eu
On est débordé, mais on trouvera de l'aide pour traiter chacun de vos dossiers. Nous aimons vos enfants comme les notres. Aidez-nous à ne jamais permettre que l'histoire vous oublie.
postmaster@droitfondamental.eu.
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Victims of the paedocriminal network Zandvoort testify
Editeur responsable: Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti - 10 Rue Faider - 1060 Bruxelles - Belgique - Droit de réponse: postmaster@droitfondamental.eu
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mardi 14 juin 2011

Pédophilie Bordeaux : Prostitution Légalisée De Mineur

Juin 2011, les criminels(lles) sont libres et je n'ai pas mon Enfant.
L'affaire est étouffée en France par la Justice.

A l’origine, un petit garçon avait expliqué à deux médecins que chez son père, une personne lui « avait mis un doigt dans le cucu et fait plein de bisous sur la bouche ».
Le procureur Bertossa (Suisse) et la juge Ringot (France) présumaient qu’il figurait sur le fichier Zandwoort, longue liste d’enfants victimes de la pornographie et autres tortures, mais personne ne sait pourquoi, l’enquête fut l’objet de sérieux dérapages dès qu’apparut un magistrat déculotté parmi les photos des crimes. La France classera le dossier Zandwoort « secret-défense » : quel rapport avec un magistrat déculotté ( en train d’abuser d’un enfantde 11 ans selon une source sûre) ?
La juge Isabelle LOUMAIGNE-BREHAT confia alors la garde de l’enfant au père, évacuant le fait que c’était celui-ci qui avait quitté le domicile conjugal pour une autre femme, ceci après avoir prononcé le divorce aux torts de l’épouse.
En 2001 les juges Franck LAFOSSAS et Philippe GUENARD confirmaient répétitivement en appel les décisions de la juge dans l’intérêt supérieur de l’enfant ajoutant : « que le changement de résidence se fera, au besoin, avec l’assistance de la force publique ».
Entre temps le tribunal de Bordeaux avait désigné Claude Amirault, expert clinicien, qui expliqua: » Les jeux provocateurs a thématique sexuelle chez les enfants de 3 à 5 ans (filles ou garçons), sont monnaie courante en ce qui constitue même le mode d’expression privilégié pour l’accession de tout sujet à son identité sexuelle. »
Poussée par la peur, la maman Patricia Poupard décide de se réfugier en Suisse avec son fils où elle est invitée à demander l’asile politique. Le Dr. Jean-Pierre Caretti du Centre d’accueil des Cernets-Verrières demande aux laboratoires Brunnhof une analyse qui fera apparaître que ce jeune garçon de 7 ans est atteint de chlamidya. Il s’agit d’une maladie vénérienne des plus contagieuses qui se transmet uniquement par rapport sexuel non protégé. Elle peut passer longtemps inaperçue puis se propager brutalement de manière ravageuse.
En 2004 le juge Jean-Pierre BRUN, « expert en blanchiment d’argent, criminalité organisée et autres affaires difficiles » est dépêché à Bordeaux. Il lance aussitôt un mandat d’arrêt international à l’encontre de Patricia Poupard pour enlèvement parental. Elle fut arrêtée le 1er avril 2004 et incarcérée. L’analyse de laboratoire concernant l’enfant fut alors confisquée. Le juge excédé par les objections justifiées de Patricia perdra son sang-froid s’adressant à elle en hurlant.
Patricia Poupard sera alors jugée à huis clos et menottes aux poignets et sans la défense d’un avocat par la juge Thérèse PERET. Elle ne toléra pas que l’accusée demande la récusation du procureur Marc FRITSCH pour avoir fait une grève de la faim préalablement à sa fuite vers la Suisse. Enfin elle justifia la mise en détention de Patricia par le fait qu’elle risquait cinq ans de prison alors que le code pénal n’en prévoit que deux au maximum.
Le jour du jugement les menottes furent enlevées à Patricia (presse oblige). Le procureur FRITSCH réclamera un an de détention dont une partie ferme pour couvrir la détention préventive, assortie d’une mise à l’épreuve, pour « avoir décidé de faire obstacle aux relations naturelles qu’un fils doit avoir avec son père. » Patricia Poupard osa mentionner le rapport de l’ONU qui dénonçait le sabotage par la France de l’enquête sur le fichier Zandwoort. « Cela devient indécent » coupa le président qui la condamna au-delà des réquisitions à 18 mois dont 9 avec sursis, une mise à l’épreuve de 3 ans avec obligation de soins psychiatriques, interdiction de quitter le territoire et interdiction de voir son fils seule.
Patricia Poupard sera maintenue dix mois et demi en détention préventive alors que la loi limite cette détention à quatre mois. Les conditions de détention furent d’une telle violence qu’il en résultera un handicap de 50%. La juge LOUMAIGNE-BRUHAT en profitera pour lui enlever l’autorité parentale, avec pour seul motif que « le père puisse prendre les décisions nécessaires à l’éducation de l’enfant sans risque d’entrave ».
Patricia Poupard ne pourra récupérer l’analyse du laboratoire Brunnhof qu’en 2006 après avoir porté plainte contre la prison. Depuis elle demande un jugement motivé sur l’intérêt supérieur d’un enfant porteur d’une maladie vénérienne à l’âge de sept ans à être confié à l’autorité parentale exclusive du père. Les magistrats LOUMAIGNE ET GUENARD furent à nouveau chargés de s’y opposer comme ils le font depuis dix ans. Sachant que Patricia ne survit qu’avec le minimum vital alloué à toute personne handicapée, le juge GUENARD contribuera même à un jugement qui la condamne à être privée d’assistance judiciaire pour « procédures abusives ».
Patricia ayant décidé d’exposer ses difficultés sur internet, le père introduit alors un plainte avec constitution de partie civile pour « atteinte à l’intimité de sa vie privée ».
S’appuyant sur l’attitude des magistrats Bertossa et Ringot Patricia a de bonnes raisons de penser que son fils est dans le fichier Zandwoort et qu’elle détient là tous les justificatifs pour se constituer partie civile dans le dossier Zandwoort.
Le juge Christian RISS balaiera toutes les demandes de Patricia de même que la maladie vénérienne de son fils et décidera, au nom du Peuple français : « Le préjudice moral subi par l’intéressé (le père) n’étant pas sérieusement contestable, il peut lui être alloué à titre provisionnel un montant de 1000 €. La défenderesse ne peut qu’être déboutée de l’intégralité de sa demande reconventionnelle. » Autrement dit, au nom du Peuple français, la révélation de la maladie vénérienne d’un enfant est une atteinte à l’intimité de la vie privée du père. Ainsi en aura décidé un premier président de cour d’appel (Bordeaux) !!!
En conclusion, ce Christian RISS, premier président de la cour d’appel de Bordeaux : 1) – lui refuse le droit à être jugée dans le dossier Zandwoort pour une quelconque question touchant à sa constitution de partie civile et par extension aux atteintes sexuelles dont son fils a été l’objet, ceci en l’absence du dossier complet, 2) – la déboute de l’aide juridictionnelle totale, de la désignation d’un avocat et des devoirs d’enquête que lui assure pourtant la législation européenne.
Et pour couronner le tout, les plus hautes instances judiciaires françaises n’hésitent pas à afficher le fait qu’un même magistrat, Philippe GUENARD, puisse débouter répétitivement les mêmes personnes qui exposent des faits de pédophilie.
« Censored 31″ du 26/03/2009 d’après … (journaliste d’investigation)

lundi 13 juin 2011

PÉTITION DE SOUTIEN À MME POUPARD DONT LE FILS EST VICTIME DU RÉSEAU PÉDOCRIMINEL DE ZANDVOORT-FRANCE  

PÉTITION : JUSTICE POUR PATRICIA POUPARD



Présentée par la Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti, le 14 janvier 2009, à l'attention de
    - Président du Parlement Européen ; - Mr Sarkozy, Président de la République Française ; - Mme Dati, Garde des Sceaux français ; - Mme Bachelot-Narquin, Ministre français de la Jeunesse, de la santé et des sports.


Le fils de Patricia Poupard et d'Alain Flèche, né en 1993 à Bordeaux, n’avait que trois ans quand il a reproché des abus sexuels à son père. Bernard Bertossa, un juge suisse, a fait apparaître que l’enfant était une victime du réseau Zandvoort, qui porte le nom du port hollandais, où une victime a mené Marcel Vervloesem, directeur d'un ONG belge, a plus de 100.000 de photos de pornographie et tortures d’enfants. Le juge Bertossa a invité Patricia Poupard par commission rogatoire, à visionner le fichier à Genève, le 14 juillet 2000, sans expliquer le motif de ses soupçons. Elle a reconnu le fils d’une de ses amies. Son propre fils s’est reconnu sur la photo d'un enfant, qu’un adulte positionne pour exposer un anus dilaté.

L’instruction du dossier Zandvoort obligeait à rouvrir le dossier Coral, car ils comportent tout deux la même photo d’un homme identifié comme étant un magistrat français, qui apparaît déculotté avec un enfant de 11 ans. Plus de 300 personnalités du monde politique, judiciaire, médical et journalistique avaient été mises en cause avec lui en 1982. Ceci explique les énormes moyens mis en œuvre pour piéger les parents de victimes, à commettre les erreurs qui permettront de les anéantir. Partout où le réseau passe, les enfants sont placés en institutions ou condamnés à vivre avec ceux a qui ils reprochent des abus, avant que ceux-ci n’aient à répondre des procédures pénales à leur encontre.

En Suisse, un député, également haut fonctionnaire et directeur d’une ONG de la protection de l’enfance, qui avait invité le magistrat déculotté à un colloque en 1996, persuadait les mères de rester en Suisse. Il leur promettait un asile politique, que la Suisse n’avait jamais accordé à un ressortissant d’état de droit. Au même moment, le magistrat déculotté, avec les experts français de la protection de l’enfance, faisait voter des lois en France, pour envoyer ces mères en prison pour enlèvement parental, sans possibilité de grâce présidentielle. Une trentaine de mères françaises sont tombées dans le piège, mais également des belges et des espagnoles.

La juge Danielle RINGOT a prononcé, le 20 mars 2003, le plus célèbre non-lieu de l’histoire française, en l’absence de 88.539 pièces, qui avaient été oubliées en Belgique et en Hollande. Elle a ainsi libéré tous les mis en cause, dont les 300 personnalités françaises, sur base d’un dixième du dossier. Elle a aussi ouvert la porte de la prison aux mères qui avaient été trompée par l’offre d’asile politique. Patricia Poupard, tombée dans le piège, a été arrêtée par Interpol en Suisse et incarcérée en France le 1er avril 2004, à Gradignan.

Juges et psychiatres n'ont pas retenu les constats médicaux établissant les violences de son ex-mari sur elle, ou les analyses du laboratoire Brunnhof AG de Bern, qui prouvent que son fils était porteur d’une maladie vénérienne à 7 ans. Ils n'ont pas demandé au Juge Bertossa le motif de ses soupçons. Ils l’ont condamnée, sous prétexte de "délires paranoïaques", le 27 août 2004, à 18 mois de prison dont 9 mois avec sursis. Elle est fichée dans un casier judiciaire qui la présente comme l’une des plus dangereuses criminelles de France. La Cour de cassation, alors présidée par un ami du magistrat déculotté, a mis 10 mois ½ pour rejeter son pourvoi, en dépit de la loi qui ne permettait pas qu’elle soit objet d’incarcération préventive plus de 4 mois.

Patricia Poupard a enduré des traitements inhumains et dégradants en prison, mis en œuvre dans le cadre d’une technique de lavage de cerveau nommée "snapping", qui vise à transformer le sujet en légume, ou le mener à l’autodestruction. Neuf mois d’exactions n’y étant pas parvenu, elle a été internée en violation de toutes les lois françaises, lourdement droguée puis relâchée sans désintoxication. Elle a eu la force de se désintoxiquer seule, ce qui démontre une grande force de caractère.

S'il est tellement utile de condamner les parents sur base de ce non-lieu prononcé en l’absence de 88.539 pièces au dossier, c'est que cela dégoûtent les victimes de demander justice lorsqu'ils arrivent à leur majorité. Cela pose ainsi la question de la motivation réelle du tribunal de Bordeaux, pour priver Patricia Poupard d’assistance judiciaire, alors qu’elle est réduite à une allocation de survie pour personnes handicapée, (COTOREP).

Si Patricia Poupard était une proie idéale, c’est que sa mère avait trouvé un moyen pour voir davantage son petit-fils. Elle n’a eu aucun remords à soutenir son beau-fils, alors qu’il avait songé à un abandon de paternité. Elle a assuré à sa fille des avocats qui ont omis de demander sa libération, alors que la loi française le permettait, dans les heures qui suivaient sa condamnation. Elle a été privée de liberté 10 mois ½, alors que 4 mois et 27 jours couvraient la totalité de la peine effective.

Patricia Poupard a été escroquée de ses affaires personnelles et de sa bijouterie (soit l’héritage de son fils), sans que la justice ne lui accorde accès au dossier judiciaire. Mais Alain Flèche, qui vivait dans une camionnette avant leur rencontre, vit à présent des bénéfices d’une bijouterie.

Non content de l’étonnante inversion de fortune en sa faveur, il a obtenu, par son avocate, Alexandra Baudouin, membre du CRIC à Bordeaux, Centre de Recherche d'Information et de Consultation sur les Droits de l'Enfant de Bordeaux, à la faire condamner à lui payer des dommages moraux, ironiquement pour avoir demandé la garde de son fils, selon l'article 10 de la convention des droits de l'enfant. Il trouve des Huissiers de Justice, qui prétendent pouvoir saisir son allocation de survie, que la loi française garantit insaisissable.

Mère et fils ont été coupés de contact durant plus de trois ans, avec seules quelques minutes de téléphone de temps à autres, tous les 2 ou 6 mois. Ce 23 décembre 2008, pour la première fois, ils ont pu se voir deux heures. Le jeune a actuellement 15 ans. Il dit que son père voyage souvent en Indes, et l’envoie alors chez des copains ou chez des gens qu’il ne connaissait pas. Il vit dans un cocon de type sectaire. Il est traité comme un bébé, interdit de téléphoner à sa mère ou de lui donner son numéro de téléphone, comme s'il ne pouvait pas, à son âge, se faire une opinion personnelle.

La longue séparation avec sa mère a permis à la grand-mère de lui faire craindre "une tentative d’enlèvement", bien peu réaliste, puisqu'une personne handicapée aurait bien des difficultés à maîtriser un jeune de 1m80. Tout son entourage s’appuie de jugements en violation des lois internationales, pour le convaincre de la normalité d’une maladie vénérienne à l’âge de sept ans, ou lui répondre qu'ils ne sont pas concernés. Il lui est induit la crainte de parler à ses amis de sa situation, de manière à réduire le danger de débats contradictoires.

Patricia Poupard n'a jamais enlevé son fils: ils ont tout deux été victimes d'un piège, par une offre malhonnête d'asile politique. Nous joignons nos voix pour la soutenir afin qu’il lui soit octroyé son droit fondamental à une assistance judiciaire afin d'obtenir :

- Son droit à l'égalité des armes pour sa défense lors des procédures judiciaires ;

- La garde totale de son fils et en l’attente, des contacts réguliers entre eux ;

- Sa réhabilitation et la reconnaissance des victimes de Zandvoort ;

- L’instruction de l’affaire Zandvoort sur base d’un dossier complet ;

- Pour que le Conseil de la Magistrature demande aux magistrats en charge du dossier de répondre de la raison pour laquelle ils n’ont jamais prétendu considérer la maladie vénérienne d’un enfant de 7 ans.



POUR SIGNER LA PÉTITION :
help !http://www.droitfondamental.eu/phpBB3/viewtopic.php?f=19&t=237

France : Criminalité Sur Enfants

                                      Des Médecins Complices De Crimes

Un gendarme témoigne de faits épouvantables commis sur des enfants dans le Var tels que viols et assassinats programmés. Et ce n'est pas faute de signalements, le premier datant de 2007, déposé au parquet de Draguignan, auquel personne n'a jugé bon de donner suite.

"Nous avons actuellement plusieurs affaires dites sensibles où sont impliqués des gendarmes gradés, des procureurs et, dit-on, également des juges pour enfants de Draguignan et d'Aix, qui au lieu de remplir leur mission publique, détournent leur pouvoir dans leur propre intérêt qui est de protéger un réseau dont ils font partie et de couvrir les réalisateurs et vendeurs de films qui commettent les crimes. Quand il s'agit d'un particulier suspecté de violences sur enfant, nous sommes très sévères, par précaution, même s'il n'y a rien. Quand le suspect est un membre du réseau, même et surtout s'il y a quelque chose de grave avec preuve, on le couvre ! Les signalements sont tus et cachés ou mis à la poubelle. Les documents et preuves se sont perdus !

D'après ce que je sais, un père de trois enfants et ses amis tournent des films d'assassinats d'enfants lors de leurs « fêtes ».Ils sont protégés par quelques collègues et des membres de tous les corps constitués. Des professionnels d'activités éducatives et libérales sont directement impliqués et protégés. Nous avons des documents qui indiquent les endroits de notre circonscription où sont tournées ce qu'ils appellent des snuff. Si d'après Internet, il existe des tournages de faux meurtres, ceux décrits par des enfants en très bas âge sont tellement inimaginables qu'ils ne peuvent pas être inventés par eux.

Il y a de constants détournements de pouvoir ignorant les avis médicaux et les récits de meurtres racontés par les enfants. Nous avons saisi des dessins explicites faits par des enfants où, en plus des viols, d'autres enfants sont dits martyrisés, pleurent, crient et sont tués pour de vrai. Pour que les affaires n'éclatent pas, « notre » protection nous est garantie par quelques procureurs et juges haut placés, jusqu'à Aix pour couvrir les décisions d'appel, et jusqu'à la présidence de la République. Nous avons essayé d'informer Monsieur Sarkozy de ces crimes par 3 fois (fax, LR/AR et Chronopost) avec 200 pages de pièces justificatives en décembre 2008. Mais ces courriers ont été interceptés avant qu'il n'en prenne connaissance. Transmettez ce document à un maximum de personnes. Il en va de la vie d'innocents. C'est URGENT.

Les quelques membres du réseau, que je connais, essaient de nous piéger et ils ont réussi pour un collègue "pas clair" chargé d'enquête. Celui-ci a été obligé d'établir son rapport de synthèse destiné à protéger un père et le réseau en accablant une maman apparemment sans histoires, par des transcriptions mensongères, notamment en détournant les propos écrits de l'analyse établie par un pédopsychiatre d'un hôpital marseillais. Je dois pour moi-même prendre des précautions. Ayant eu le malheur de dire que je trouvais anormal que la procureure refuse l'instruction avec tant d'éléments probants, j'ai été immédiatement suspectée dangereuse et depuis je ne parle plus de cette affaire qui me ronge et que l'on sent prête à exploser, dramatiquement.

Si je peux me permettre un commentaire, c'est que si les films horribles de tortures et de meurtres d'enfants existent, il faut bien qu'ils soient tournés quelque part. Les éléments que nous avons saisis laissent à penser qu'ils sont bien tournés ici et dans la région ainsi qu'en Belgique. En ce qui concerne les protections, elles sont ici très efficaces. Plusieurs meurtres ont été couverts dont 4 jeunes femmes violées et torturées, le tout filmé, et nous devons nous taire. Une journaliste a fait partie du lot.

Je ne peux pourtant pas imaginer que la protection criminelle atteigne tous les élus de la République. J'ose espérer que cette protection n'est couverte que par quelques membres des plus hautes instances de l'Etat. Pour prendre un exemple, Rachida Dati à l'époque ministre de la Justice, qui a répondu qu'une affaire concernait le tribunal local, est-elle véritablement au courant du dossier concerné par le courrier qu'elle aurait signé ? D'après ce que j'ai entendu, le dossier-courrier reçu par les services de la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a été intercepté avant de lui parvenir, comme cela aurait été le cas pour Monsieur le Président de la République.

Les preuves des forfaitures caractérisées existent. Elles sont issues de déclarations d'enfants et d'analyses pédopsychiatriques qui nous ont été transmises. Les dossiers renferment les preuves des mensonges qui sont toujours examinables tant qu'ils n'ont pas disparu, rédigés par des collègues chargés de l'enquête depuis son début jusqu'au rapport final de synthèse qui est destiné à l'élimination des gêneurs, membres des familles et témoins. Nous possédons des déclarations filmées des enfants, qui sont écartées alors qu'elles nous ont été transmises. Nous possédons des dessins des enfants, certains très explicites comme celui d'un enfant de 3 ans et demi de « monsieurs et de madames » tout nus, messieurs avec zizis en érection éjaculant dans la bouche de la madame nommément désignée comme est nommément désigné l'éjaculateur, zizis qu'on leur met ensuite « dans la bouche et dans les fesses », ceci pour ne parler que du moins horrible.

Si les non-respects de procédures pourtant constatables seront toujours camouflés, si les malversations indubitables ne peuvent pas être divulguées, s'il y a avec « notre » concours participation à l'incroyable horreur, c'est parce que certains membres font effacer toutes les preuves, comme ce fut le cas pour le déterrement et l'enlèvement de cadavres d'enfants tués, à l'endroit signalé par les enfants. Si les assassinats de 2 jeunes filles pourtant signalés par des policiers, n'ont pas paru dans les journaux, c'est sur ordre du procureur. On croit rêver.

Il ne peut en principe pas y avoir de fuites car tous les intervenants sont impliqués, comme on a voulu m'impliquer. Un collègue qui a été piégé m'a dit qu'il a été sans doute été drogué avant de participer à une « fête ». Lors de cette « fête » un film est apparu sur l'écran de la télévision. Il s'agissait de viols, de tortures et de meurtres de jeunes filles. Il était absorbé par l'horreur pendant que derrière lui, des ébats sexuels avaient lieu. Des convives filmaient tout ça et lui-même a été filmé. On lui a fait comprendre qu'il n'y avait aucun risque puisqu'il connaissait bien un de ses « supérieurs » présent.

A la fin de la soirée, quelques habitués recevaient en souvenir le film de la « fête » et d'autres pouvaient l'acheter cher contre des services à rendre. Seuls les acteurs des films pourraient les avoir pas cher. Certains individus font un commerce lucratif en tournant eux-mêmes des films, en décor naturel, et les vendent aux membres du réseau. Nous avons saisi plusieurs films avec des acteurs qui sont des enfants d'une école de la circonscription. Ces films ne figurent pas dans les pièces saisies car d'après ce que j'ai compris, quiconque a les preuves est obligatoirement participant d'une façon ou d'une autre. Si une preuve est divulguée, ce ne peut pas être par la presse qui est aussi muselée car elle n'a pas le droit de signaler une anomalie sans l'aval de la gendarmerie ou de la justice.

J'ai cru comprendre que tous les postes importants sont tenus par des membres du ou des réseaux. Si par mégarde un intrus porte plainte, il est enfermé pour cause de folie reconnue telle par des psychiatres de renom. Si ça se passe mal, j'ai compris qu'il y a exécution immédiate. Mon témoignage est vrai et les acteurs sont connus. Je lance ce message comme on lance une bouteille à la mer parce que c'est ignoble et aussi je sens ma vie en danger. C'est pour cela que j'ai choisi Internet. J'écris ce message pour informer le grand public car je ne vois pas d'autre moyen pour éviter les meurtres programmés et peut-être le mien car je ne puis être sure de personne.

En dehors de notre circonscription, le procureur de Nice Monsieur Montgolfier aurait fait recevoir des plaintes concernant un médecin disant connaître les viols et assassinats. Ce médecin, complice apparent, semble obligé de couvrir le réseau avec de faux examens et des faux témoignages exploités par les juges des enfants et le procureur. Il y aurait aussi des plaintes signalant les malversations de membres de services de sauvegarde de l'enfance participant aux viols d'après des enfants.

Ici, deux mamans qui ont porté plainte ont été déclarées folles et sont actuellement internées. Une maman se serait suicidée. Une autre, toujours internée et soignée, serait devenue folle. Les affaires et les plaintes détournées concernent les mêmes officiers de police que ceux concernés dans la plainte au procureur Mongolfier ! Voilà pourquoi j'élargis le secteur… J'ai autre chose à déclarer: le réseau est lié à deux affaires ayant fait scandale dont une en Belgique, sans suite pour les chefs du réseau qui viennent en grande pompe à Saint Tropez, ce qui fait bien rire ici."
Trouvé sur le blog d'une égyptologue bien connue

http://archive.investigateur.lu/books/dossierpedophilie.html
http://www.fredi.org/index.php/Belgique/Union-des-Mamans-et-familles-d-enfants-ou-adultes-assassines-disparus-violes-ou-tortures.html
http://tevirepedo.droitfondamental.eu/?p=940

Cour de Justice des Communautés Européennes (CURIA)
http://suche.aol.de/aol/idoidPage?query=cour+de+justice+europeenne&type=web&pageNum=1&title=Cour+de+justice+%28CURIA%29&s_it=web_serp&s_cid=127320561404603781654234504779685766191&u=http%3A%2F%2Fcuria.europa.eu%2F
Cour Européenne des Droits de l'Homme (CEDH)
http://www.echr.coe.int/echr/
Cour Internationale de Justice (CIJ)
http://www.icj-cij.org/

Pédophilie France, extrait vécu

J’amène mon fils au CHR de Bordeaux, l’œil abîmé, une bosse sur le front. Son père me dit qu’il est tombé du toboggan au parc bordelais. Son demi-frère, P-A était avec eux, pendant que je travaillais. Les médecins n’ont rien dit. J’ai cru à cette version sur le moment, mais je pense que mon fils a été battu et à partir de ce jour, je ne l’ai plus laissé seul avec son Père. De plus sur la table de salon, un drôle de yoyo est posé. Dés années plus tard, je saurais ce que sais.

Nous prennons nos vacances à Pezenas au mois d’août. La maman de P-A qui était venue à Bordeaux voir un industriel, passe à Pezenas, mais je ne la vois pas. Ma soeur me dit au téléphonne de faire attention à mes verres.

Tout va comme ça peut aller, jusqu’à ce que mon fils découvre une petite pipe avec de la poudre blanche. Résultat de la découverte: mon mari infidèle revient avec de ses amis que je ne connais pas, qui me tabassent en présence de notre fils. Il léve son majeur et me dit:- Je t’ai détesté, méprisé, je te haïs. J’ai l’oreille interne détruite, des hématomes sur tout le corps. Je suis en incapacité de travail durant un mois. Je demande le divorce avant la fin du mois d’août.

A la rentrée des classe de la petite maternelle de Bordeaux, je consulte les dessins de mon fils avec la directrice. Ce ne sont que des hommes, dont il dessine le sexe d’un trait. Une semaine aprés, l’école sera cambriolée… et les dessins de mon fils ont disparu. La semaine suivante, le père viendra consulter le dossier… vide !

Je ne dois rien posséder et me détacher de tout. Je dois être pauvre. Je n’existe pas, plus. Le père fait croire que je le bat, qu’il a peur de moi, il me vouvoie et arrive devant des magistrats l’air trés humble. La plainte à l’encontre des agresseurs sera classée… sans suites. Les magistrats écriront :- « Qui prouve que Madame Poupard ne se serait pas agressé elle même ? »
Plus tard, je serais convoquée en Suisse par des autorités pour visionner le cdr pédocriminel Ulrich, dit Zandvoort ou mon fils apparaît(extrait de mon vécu).

Réseau Pédocriminel France, Zandvoort

                                   UE-justice pour Patricia Poupard

  • La France me prive de mon fils, pour couvrir les carences d'un système judiciaire, qui a libéré des pédocriminels.


  • Que la France respecte les droits fondamentaux des victimes du réseau pédocriminel de Zandvoort, dont leur droit à être jugés sur base d'un dossier complet, avec l'assistance d'un avocat.


  •  


  • http://www.causes.com/causes/482713
    Le Parlement Européen a ouvert le 26 avril 2010 la pétition "Pédocriminalité organisée: violations systématiques des dispositions fondamentales du droit international au sein de l'UE", dans le traitement du dossier Zandvoort, pour couvrir les carences des Etats concernés. Nous demandons que la France respecte les droits fondamentaux de Patricia Poupard, entre autres son droit à être jugée sur base d'un dossier complet, avec l'assistance d'un avocat.
    Vidéo Parlement Européen:

    Yvon Tallec Le Magistrat Qui Protège Un Réseau Pédocriminel-France

    ZANDVOORT, Dossier Pédocriminel France-Aquitaine

     

    Le 16 mai 2000 dans le journal de 20 heures, sur France 2, le procureur de Paris, Yvon Tallec (parquet des mineurs) a osé déclarer :


    "Un certain nombre de ces clichés sortent de revues où les mineurs ont été photographiés, la plupart du temps avec non seulement leur accord, mais l'accord de leurs parents. Certaines des photos sont des matériaux très anciens" en invitant à"minimiser, en tout cas en France, la portée de cette affaire, dans la mesure où des nombreux enfants présentés ici ne sont pas des enfants français".

     

    Non, monsieur Yvon Tallec, mon fils n'était pas consentant et souriant sur le cdr Ulrich, dit Zandvoort visionné le 14 juillet 2000 à la Brigade des Mineurs de Genève en Suisse, Non monsieur Yvon Tallec, mon Pitchoun à son jeune âge ne pouvait donner son accord, Non monsieur je ne suis pas une Maman consentante et d'accord de voir mon Enfant violé, l'anus dilaté. Mon fils a eu le courage de dénoncer et d'accuser. C"est un acte de Barbarie et si j'avais eu un avocat digne de nom, j'aurais déposé une plainte à votre encontre.
    Oui, monsieur Yvon Tallec on nous à mis à la porte de France en mars 2001 en deux heure sous peine d'une défenestration qui semble être une pratique courante pour ceux qui dénoncent la criminalité sur Enfant.
    Un mois après ce départ dans des conditions dramatique, mon ex-mari, contactera la gendarmerie, car écrit-il, il s'inquiète de ne plus voir ma voiture sur le parking, alors que j'avais un garage. La gendarmerie écrira qu'il avaient eu peur de trouver deux cadavres, celui de mon Enfant tué par moi et qu'a la suite je me serais suicidée.
    La Suisse nous fera passer en Asile politique, sachant que la France est un État de Droit, la Suisse obéira à la France pour nous vendre et le premier avril 2004 nous serons arrêtés très brutalement par Interpol. La juge Thérèse PERRET me recevra avec Marc FRITSCH magistrat, elle me dira qu'elle me libère mais que si je portais plainte à l'encontre de Marc FRITSCH, j'allais en prison, plus tard le réseau criminel m'internera au seul fait de dénoncer la criminalité sur mon Enfant, sans défense, sans dossier. La suite sur ce site dans les articles.
    Ce dossier semble dérangeait les homosexuels et il est entièrement géré par les loges maçonnique depuis 14 ans. Mon fils est sous contrainte et il a été menacé. La justice sait que les victimes, même 10 ans après la majorité, ne porteront pas plainte car si c'est un réseau pédrocriminel, ils continueront à menacer. Le réseau Zandvoort tue.
    La France est un Etat pédophile par une magistrature corrompue qui protège des pédophiles.
    Par décret du Président de la République en date du 7 février 2011, vu l'avis du Conseil supérieur de la magistrature lors de sa séance du 21 janvier 2011, M. Yvon Tallec, procureur de la République adjoint près le tribunal de grande instance de Nanterre, est nommé dans les conditions fixées par le II de l'article 76-1-1 de l'ordonnance no 58-1270 du 22 décembre 1958 modifiée portant loi organique relative au statut de la magistrature pour exercer les fonctions de substitut du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Nanterre du 14 février 2011 au 13 février 2013.
     
    Depuis avril 2004, mon Enfant contre sa volonté est avec ses agresseurs. 

    http://www.scribd.com/doc/3310821/Livre-Jaune-
    http://www.lepoint.fr/archives/article.php/73117
    http://zandvoort.morkhoven.org/wordpress/?p=333
    http://letitan.over-blog.com/10-categorie-11550739.html
    http://www.mnasm.com/files/uploads/Publications/RapportsSite/rapport-site-109.pdf
    http://reseaux-francais.droitfondamental.eu/wordpress/?
    p=848http://pedopitchoun2.blogspace.fr/2388596/Creation-De-Mon-Fils-A-L-Ecole-Bordeaux-Aquitaine-France/
    http://tevirepedo.droitfondamental.eu/?p=57
    http://www.barruel.com/
    http://denidejustice.wordpress.com/
    Interpol et les nazis, dont un jusqu'en 1972 :
    http://www.interpol.int/Public/ICPO/Governance/SG/HistoryFr.pdf
    http://www.syti.net/Organisations/Illuminati.html
    http://transition888.heavenforum.org/t81-temoignage-de-svali-ex-illuminati-repentie
    http://pdo-stop-cannes-2010.blogspot.com/2009/10/pedophilie-bordeaux-le-temoignage-de.html
    http://www.lexinter.net/Legislation2/index.htm

    France Pédophilie : Les "Mengelé" de la médecine. Dossier Zandvoort France

    BORDEAUX-AQUITAINE-FRANCE
    PSYCHIATRIE , Criminalité Organisée(les noms à la fin de l'article)

    Avant propos: Au seul fait de dénoncer la criminalité sur mon Enfant, dossier Ulrich dit Zandvoort, voila ce que l'on m'a fait subir en France.

    Non-lieu du dossier pédo- criminel en 2001 pour les parties civile et 2003 le définitif par la juge RINGOT Danielle(Paris), malgrè deux dénonciations des services sociaux pour abus sexuel du père, puis une analyse ou l'Enfant a des chlamydias, maladie sexuelle.

    Convocation par commission rogatoire en Suisse pour visionner le CDR pédophile à la brigade des mineurs de Genève en Suisse, le 14 juillet 2000, alors que je suis française.

    Incarcérée en avril 2004, pour avoir protégé mon Enfant qui accusait son père et les amis de celui-ci, à la prison de  Gradignan(33), je déposerais des plaintes. Trois semaines après, je recevrais l'enveloppe toujours ouverte avec toutes mes plaintes, ce qui est illégal en France.
    Toutes les plaintes ont été classées. Mes effets personnels et mon dossier ont été gardé 23 mois illégalement par la justice française me privant ainsi de défense et des preuves.


    Par la suite, de temps en temps je verrais monsieur Dominique DANDELOT, psychiatre à la maison d'arrêt de Gradignan(33) et à l'hôpital de Charles Perrens (33). Il dira qu'il a été en Suisse. Nos rencontres dureront peu de temps à chaque fois et je refuserais parfois de le rencontrer car il me dira souvent :
    « Vous êtes mal Madame, je vous vois au plus mal. Vous êtes dangereuse, vous Nous faites peur !!!

    Il sourira lorsque je parlerais de pédophilie, cela ne l'intéresse pas, le viol n'existe pas et les symptômes qu'avait mon fils non plus, de ne plus avoir de nouvelles de mon fils non plus.
    Il prendra plaisir à me parler de montre que je n'avais plus. Il me trouvera négligée. Je me lave tous les jours et j'ai peu de vêtement, mais qui sont propres. Je me coupe la frange avec un rasoir Bic et je ne peux me teindre les cheveux. Je n'ai qu'une paire de chaussure d'hivers, en cuir usée, dont les semelles se sont décollées( mes documents du dossier et mes effets personnels sont retenus par l‘administration illégalement).
    Un jour, je lui dirais : « Monsieur soit vous êtes con, soit vous êtes bête. Je préfère la première solution, car la connerie est passagère. Mais la bêtise amène la méchanceté, le mépris de l'individu, la haine, pas celle qui amène de l'amour, celle qui est vicieuse, pernicieuse, perverse et qui pousse à l'assassinat psychologique, physique et financier. » Propos rapporté par écrit au Procureur de la République (Maison d'Arrêt de Gradignan(33) en 2004).
    Monsieur Dominique DANDELOT psychiatre, me poussera au suicide. D'un vieux tee-shirt, je fabriquerais dans les toilettes, une corde tressée, pour me pendre. Dans un état second, par des chocs psychologiques, je la mettrais autour du cou, accrochée au support de la télévision dans les toilettes, mais l'image de mon fils, m'apparaîtra et je ne recommencerais plus.
    Des surveillantes me diront qu'il n'est pas bien. Je ne suis pas dangereuse et polie.
    Par le manque de traitement pour mon arthrose, il m'arrive de trembler de douleur et de ne plus pouvoir parler
    Maître Roorick et maître Nazeri, du même cabinet viendront me proposer de me défendre. Ils viennent à la demande de ma famille et me disent que c'est ma mère qui paye.
    Je les refuse, ils insistent en disant que c'est pour m'éviter l'internement. J'accepte sans confiance.
    La première audience ne sera pas en huit clos et il n'y avait que des femmes dans la salle avec des cheveux blanc. L'avocat ne me défendra pas. Elle ira vers (le père), lui mettra la main sur l'épaule et lui dira: « Elle ne changera pas d'avis » Elle me dira tout doucement: « Je sais votre famille est dedans, ne parlez pas du père dans votre cellule ». Elle oubliera de me dire que la préventive était terminée et que je devais sortir de prison au bout de quatre mois et vingt sept jours.
    Toutes les autres seront en huit clos, sans que l'on m'en avertisse, une fois avec la salle remplie d'avocates et une fois avec la salle remplie d'avocats. Je perdrais tout, je me ferais insulter. Je verrais des magistrats suffisants, pédants.
    A chaque fois, je resterais longtemps dans une cellule salle, qui sent mauvais ou l'odeur vous prend à la gorge et à la tête et qu'il faudrait de temps en temps nettoyer au karcher. Palais de Justice de Bordeaux(33).
    18 mois de prison (pire que des criminels ou très grands délinquants) dont 9 avec sursis, 3 ans de mise à l'épreuve avec injonction de soins et interdiction de quitter le territoire français, interdiction d'approcher mon fils (janvier 2009, fin du dossier).
    A une autre audience(août 2004), un magistrat dira : « Vous sortez dans quelques heures ou quelques jours ». J'ai attendu, préparé mes affaires dans la cellule et je suis restée en prison au-delà du délais légale de la prévention. De l'espoir et je tombe à chaque fois un échelon plus bas.
    La demande de pourvoi en Cassation, perdu. Janvier 2008, procédure éteinte.
    Tout ce que j'avais a été vendu aux enchères en 2003, les jouets de mon fils aussi. Impossible d'avoir les documents.
    9 mois de prison ferme, au cours desquels je ne prendrais aucun anxiolytique ou antidépresseur.9 mois ou pour récupérer, je dormirais d'un sommeil réparateur, car comme je le disais au psychiatre monsieur Dominique Dandelot, chaque chose en son temps, un problème après l'autre. Il me dira en souriant: « Juridiquement»....
    9 mois que je n'ai pas vu mon fils, mais je lui écris. Il aura passé 1 mois à la DDASS, car son père n'en voulait pas, ni la famille des deux côtés. La DDASS
    9 mois ou parfois j'entendrais les cris insupportables de détenues.
    Une personne me dira qu'il y avait micro et caméra en cellule, alors, seule, je parlerais et je me défoulerais par la parole. Le soir en me couchant, je dirais : « Honte à vous » et je débrancherais l'antenne de télé et la prise électrique.
    Un soir dans la nuit, je serais réveillée, une surveillante ouvrira la porte de la cellule et un homme en uniforme me regardera, m'observera. C'est anormal. Je parle trop dans ma cellule.
    La cellule est vétuste, les toilettes sont salle, ainsi que les murs, dont je nettoierais la partie lit avec une brosse à dent, la vitre est fissurée et l'air froid s'y engouffre l'hiver et je mets une couverture sur les épaules pour me tenir chaud.
    Je refuserais une fouille corporelle entière sans violence et insulte.
    La surveillante fera un rapport et je passerais à un contrôle disciplinaire, sans avoir de sanction et elle me présentera des excuses dans ma cellule. Une autre surveillante, fera de même par mon refus et simulera une agression. Contrôle disciplinaire. Cela les amuse de me voir diminuée, humiliée et terrorisée. Ils rient. Une avocate désignée d'office, l'association CRIC de Bordeaux, très agressive, dira dans le bureau que je suis paranoïaque et je devrais signer le document.
    Les fouilles corporelles vont au -delà de la dignité humaine, humiliante, elles atteignent la psychologie, le moral. Ils vous enlèvent la pudeur. Cela peut devenir chez certaine personne, de la perversité, du voyeurisme malsain. Je suis ennuyée par une surveillante homosexuelle qui m'obligera à la tutoyer.
    Je n'aurais pas pendant 9 mois de Maison d'Arrêt illégale, mes effets personnels et mes papiers du dossier. Sans mon dossier, je ne pouvais me défendre. Je devrais attendre 23 mois, après une plainte à l'encontre de la Maison d'Arrêt de Bonneville, pour en récupérer une partie par une avocate d'une organisation internationale (IED) En France, c'est illégal.
    Je survivrais dans des conditions déplorables et serais traitée ou considérée, comme une criminelle, quelqu'un de dangereux pour la société, mon Enfant et moi, grâce à de la psychiatrie de complaisance pour protéger d'autres personnes.
    J'ai attrapé des mycoses aux pieds dans les douches.
    Ma demande de voir mon fils dans une salle aménagé n'aura pas de réponse.
    A la douleur morale de ne plus voir mon fils, s'ajoute la douleur physique où je fais beaucoup de crises d'arthrose cervicale très handicapant es et douloureuses avec des poussées de fièvre, sans traitement adapté.
    J'écrirais à monsieur Dominique PERBEN, Ministre de la Justice, 20 pages. Pas de réponse. 20 pages lus à la Cheffe de la Maison d'Arrêt de Gradignan. Monsieur Dominique PERBEN, visitera le deuxième étage des femmes lors de mon incarcération dépassant de plusieurs mois la préventive.
    Madame Sabine FORZAN psychiatre de la Préfecture de Bordeaux, me recevra dans la prison, quelques minutes, pour me signifier mon départ en hôpital psychiatrique, le samedi 1er janvier 2005, sans autre précision.
    « Je lui répondrais, madame, l'on sait quant on y rentre, mais pas quant on en ressort »
    Elle ne me répondra jamais et je lui dirais : « Honte à vous Madame ».
    Jamais, je n'avais vu cette madame FORZAN. Quelques mois plus tard, l'on me fera payer 30 € cette rencontre. Et encore des mois plus tard, je recevrais la facture à payer de l'internement abusif de 8 jours de l'hôpital de Cadillac... Illégal.
    J'ai peur, je n'arrive pas à le croire, à réaliser ce que peut être la psychiatrie. Je ne sais pas dans quel hôpital, j'irais, je ne sais pas ce qui m'attend. J'ai peur de ne plus jamais revoir mon fils et si, dans quel état physique. J'ai peur de devenir un légume, j'ai peur de la déchéance neurologique.
    Calme dans ma cellule j'attends (premier janvier 2005). On vient me chercher et je me trouve avec des infirmiers et un brancard. Ils veulent me faire signer un papier pour me rendre mes bijoux. Je signe en mettant une annotation pour dire qu'il en manque.
    Le personnel pénitentiaire hausse le ton et s'énerve. Je dis qu'il en manque un autre en écaille de tortue, avec un signe vietnamien en or incrusté et sans bélière. La greffière répondra que c'est une pierre noire. Non lui dis-je, c'est de l'écaille de tortue dépolie. Elle s'énervera avec son collègue et ils deviendront très agressifs et violents.
    Ils m'empoigneront et me mettront de force sur le brancard. Ils m'attacheront les poignets et chevilles brutalement sans que je me défende. Pendant 3 jours je garderais les traces des liens en cuir avec la fermeture de points en métal. Je reste calme et je ne sais pas où je vais.
    Dans l'ambulance l'infirmier me dira que je vais à l'hôpital de Cadillac. Il répondra au téléphone que je suis calme. Avec un grand sourire, il me dira: « je suis un ami de monsieur Dominique DANDELOT » (psychiatre)
    CADILLAC Hôpital, premier janvier 2005. monsieur Paul BONNAN y travaille.
    Je serais détachée, mise en chambre d'isolement ouverte et deux infirmières viendront me remettre quelques bijoux et feront un inventaire avec moi. Je serais fichée comme les nazis le faisaient: Petit nez, grande bouche etc... Je devrais rester en pyjama nuit et jour. Ils me font passer pour très dangereuse.
    Je verrais madame Eve PICQUEMAL (psychiatre) quelques instants et lui dirais que c'est un internement abusif, je ne suis pas dangereuse, c'est un dossier de maltraitance d'enfant qui accuse.
    Elle ne me dira rien. Deux jours après, j'aurais une chambre. Je ne prendrais aucun médicament, l'on ne m'en proposera pas.
    Mon vêtement me sera supprimé et je resterais en pyjama de l'hôpital, nuit et jour.
    On ne me dit rien, ni le personnel ni le psychiatre. Quelques mois plus tard, je recevrais la facture à payer de mon internement abusif de huit jours à l'hôpital Cadillac(33) .Au bout de huit jours, on me transfert en voiture ambulance vers l'hôpital Charles Perrens à Bordeaux. monsieur Dominique DANDELOT y travaille.
    On me laisse mes vêtements et les bijoux que je porte. Je suis mise en chambre d'isolement mais je peux circuler.
    Je verrais madame Zouad BOUZGARROU-HADJERES (psychiatre) qui me recevra peu de temps, juste pour me dire : « Vous êtes malade de la tête ». Elle fera une ordonnance avec des neuroleptiques. Entretien terminé. C'est un assassinat légalisé...
    Je suis en état de choc et de peur. Pendant 10 jours environ je refuserais le gobelet de neuroleptiques et resterais calme et posée. Ils me mettront en secteur fermé. Injonction d'office par piqûre d'Haldol matin et soir 5ml contre ma volonté.
    Mes reins me brûlent, impossible de dormir, de me tenir allongé, de marcher, je ne tiens plus en place. J'ai cru que j'allais perdre mes reins dont un est plus bas. Je me suis vue mourir. Je ne peux que subir. Je suis dans un goulag.
    De force, ils me drogueront, et je resterais en secteur fermé 3 semaines environ où je ne pourrais même pas sortir prendre le soleil.
    Le médecin, monsieur Michel GRASSET (Psychiatre) s'y opposera. Ce même médecin me dira « je vous ai ajouté 3 mois de plus » sans qu'il ne m'aie reçu. Jamais je ne pourrais discuter avec un psychiatre.
    Plus tard, ils me donneront du Solian, du Rivotril, du Risperdal, et de l'Haldol.
    Je ne pourrais plus parler, ma bouche étant trop sèche, je marche mécaniquement à petit pas.
    Un changement de médicaments, me fera baver, mon cœur battra vite, j'aurais un voile blanc sur la vue et je penserais à un glaucome.
    Je ne peux plus penser, me concentrer, je prendrais du poids, je ferais un œdème de Quincke au niveau du visage qui durera une semaine. Œdème dû aux médicaments. Le médecin généraliste dit que : « C'est la première fois dans sa carrière qu'il voit un oedème aussi important.
    Cela en amuse certain.
    J'aurais des incontinences urinaires et mettrais des serviettes hygiéniques. Je ne peux plus réagir, penser. Je ne peux plus marcher. En état de choc permanent mes menstrues se sont arrêtées net à 47 ans.
    Ils ne veulent pas entendre parler de thyroïde, d'arthrose cervicale qui me donne de la fièvre et de fortes douleurs.
    Les neuroleptiques diminuent mon Levothyrox, car je n‘ai plus de thyroïde. Je deviens l'ombre de moi même. Ils m'assassinent légalement. Par les effets secondaires des neuroleptiques, j'ai des tâches marron sur tout le corps, je grossi, j'ai perdu 5 cm de taille au bout de quelques mois, problème de mémoire, de digestion, de concentration ainsi que d'autres effets irréversibles.
    Je me ferais agresser violemment par un patient et mordre au bras jusqu'au sang.
    Je garderais l'empreinte de sa mâchoire plusieurs jours. Je ne suis plus rien, je suis diminuée physiquement, je ne suis plus que l'ombre de moi-même. Je ne dors plus. Je n'ai aucune intimité d'hygiène dans la salle de bain ou dans ma chambre, un ou deux infirmiers ouvriront la porte pour me voir entrain de me déshabiller ou faire ma toilette. Toujours le même infirmier, qui le fait sciemment (pour l'avocat). Avec constance ils violent votre pudeur jusqu'à l'âme.
    Ils veulent faire signer des documents lorsque vous êtes dans un état second par les drogues administrées d'office et de force. Je ne participe pas à l'atelier musical et de peinture. On me le reprochera.
    Ce que j'entends, des bruits de toute sorte qui ne conviennent pas à mes oreilles.
    J'ai étudié et pratiqué le piano, musique classique, un peu de jazz, de variété et je suis diplômée d'Art Plastique, restauration de toile. Diplôme d'Etat.
    La nourriture est mauvaise, peu variée et suffisante.
    La salade contient plus de vinaigre que d'huile. Les œufs durs sont recuits au four micro-onde et sont très indigestes. Toutes les semaines, se ressemblent, les menus sont les mêmes. Les patients se plaignent entre eux de la nourriture et s'ils peuvent sortir et s'ils ont des finances, achètent et consomment à l'extérieur. Sinon ils se ravitaillent de sucré au distributeur, pour ceux qui en ont les moyens. Les infirmiers disent que l'hôpital a obtenu un prix pour leur restauration !!!!
    La drogue douce circule.
    Il y a un patient qui dénonce un réseau pédophile dans le Dojo. Il maintient ses propos et se trouve interné depuis plus d'un an. Il a fui l'hôpital, puis a été repris. Deux SDF un jeune et un vieux parlent de souterrain, de choses étranges qui s'y passent et finissent par se taire. La personne la plus âgée interdira au plus jeune de parler.
    Certaines personnes ne semblent rien à voir à faire avec la psychiatrie et beaucoup disent qu'ils ne parlent pas avec un médecin.
    Les infirmiers relatent parfois n'importe quoi. C'est de la bêtise humaine. Ils infantilisent. Une infirmière me dira : » Eh! bien vous, vous aimez les médicaments. Je demandais un Efferalgan pour la fièvre et la douleur qu'occasionne mon arthrose cervicale. Un autre me dira : « Je traîne mon fils comme un boulet » de celui là, je m'en méfie, tout en plaisantant et en l'écoutant. Je me tais et reste vigilante. Ils détruisent sciemment.
    Je ferais une demande de contre-expertise pour internement abusif.
    monsieur Michel BENEZECH, psychiatre, expert, spécialiste de la criminalité. Il travaille à la Maison d'arrêt de Gradignan. Entretien d'une heure. Je n'avais pas été avertie de sa venue.
    Je suis bien droguée avec de grosses difficultés de concentration et aucun dossier depuis des années pour aider ma mémoire. Je n'ai plus la chronologie des évènements, ils effacent ma mémoire volontairement. Impossible d'avoir le rapport.
    Je lui demanderais à être enregistrée et à le transmettre à la Justice. Il m'enregistrera, me dira que c'est pour lui et qu'il ne transmettra rien. Je n'étais pas avertie de sa venue, j'ai parlé de mon fils, en terminant j'ai demandé :
    « Si l'enfant ne mentait pas qu'en serait-il de la psychiatrie ?»
    Je n'ai pas le rapport.
    Leur méthode est celle des nazis, ils m'ont torturée, ont permis que mon fils se fasse prostituer et maltraiter par le père en toute légalité. Ils couvrent un réseau criminel de prostitution où la drogue circule.

    LES PSYCHIATRES EN AQUITAINE - FRANCE

    1)Monsieur Paul BONNAN, psychiatre, expert auprès du tribunal de Bordeaux, hôpital Cadillac(33)-France-Algérie.
    2)Monsieur Dominique DANDELOT, psychiatre, Maison d'Arrêt de Gradignan, hôpital Charles Perrens(33)-France.
    3)Madame Sabine FORZAN -JORISSEN, psychiatre, Préfecture de Bordeaux-France.
    4)Madame Zouad BOUZGAROU-HADJERES, psychiatre, hôpital Charles Perrens(33) et CSM-France-Algérie.
    5)Monsieur Michel GRASSET, psychiatre, hôpital Charles Perrens(33)-France.
    6)Monsieur Denis PILLETTE, psychiatre, expert auprès du tribunal de Bordeaux, hôpital Garderose(33)-France.
    7)Monsieur Michel BENEZECH, psychiatre, expert en criminologie(33)-France.
    8)Madame Eve PICQUEMAL, psychiatre, hôpital Cadillac(33)-France.
    9)Le médecin inspecteur de la DDASS de Bordeaux, madame BUI-NGUYENN.
    10)Monsieur Claude AMIRAULT Psychologue, expert auprès du tribunal de Bordeaux, enseignant à l'école de la magistrature, puis à Ascain en gériartrie-France.
    Je n'ai pas la plupart de leur rapport, refus de me les donner, donc pas de plainte. Impossible d'avoir leur rapport négatif de la plupart des médecins psychiatres.
    Ceux que j'ai, sont du copier-coller de celui de monsieur Paul BONNAN.
    Ses personnes couvrent un réseau criminel de prostitution.
    Elles ont fait sciemment des faux en écriture et cela les amuse. C'est une tentative d'assassinat car j'aurais dû rester interné à vie, selon eux.
    J'ai été forcé de côtoyer à l'hôpital Cadillac et Charles Perrens, pédophiles pervers, toxicomanes, criminels....
    Tortures légalisée et prostitution de mon Enfant légalisée par les « Mengele » de la médecine dont un me menacera et sera très agressive avec moi, les autres avaient le sourire au bout des lèvres de leur méfait.
    J'ajoute le psychiatre CAMPNAS(CSM(33))au début des dénonciations (1998 ou 1999 ?) qui pour mon Enfant ne voudra jamais me donner son rapport et me dire quoi que ce soit.
    Si les chirurgiens sont les princes de la médecine, car ils réparent, les psychiatres en sont les ânes, car ils ne réparent rien, ils détruisent en jouissant de leur pouvoir virtuel. Des pervers qui s'ignorent.
    A voir, Christian FLECHE, mon ex-beau-frère, infirmier-psychothérapeute, spécialiste du biodécodage, répertorié, classifié, comme secte en France. Il pratique la PNL, l'hypnose, a deux écoles pour enseigner. Il dit soigner des maladies graves. !!!
    Un jour, il m'avait dit "qu'il voyait tout en bleu, que c'était un arc en ciel. avec sa voix monotone et que moi je voyais tout en gris ?"
    http://www.google.fr/search?hl=fr&rlz=1T4ACEW_frFR310FR310&q=christian+fleche+&btnG=Rechercher&aq=f&aqi=g3&aql=&oq=

    Dominique DANDELOT

    Expert près la cour