jeudi 2 février 2012

Free Marcel Vervloesoem

Marcel Vervloesem est en prison parce qu'il dénonce des réseaux criminels de prostitution d'Enfants.
http://www.causes.com/causes/438481-free-marcel-vervloesem
Marcel Vervloesem, prison Turnhout,Cellule n° 139 Wezenstraat 1, 2300 Turnhout
Free Marcel Vervloesem!
www.causes.com

www.causes.com
Free Morkhoven-activist without condition

mercredi 15 juin 2011

Pédophilie : 25 Techniques De Désinformation

Décodage de 25 techniques de désinformation

Voici quelques techniques courantes utilisées par différents organes de pouvoir – publics ou privés –cherchant à occulter des vérités qui dérangent. Il est utile de garder ces concepts à l’esprit lors de la lecture d’informations relatives à des sujets controversés (ils sont nombreux) … pour autant, règle n°1, que vous sachiez même qu’ils le sont. Faites le test. Vous serez sans doute surpris de constater à quel point ces procédés percolent au travers de nombre de propos tenus par des instances officielles, des « experts» et par extension de nombreux médias.


Technique n°1 : Évitement

Ne pas écouter la controverse, ne pas la voir, ne pas en parler. Si elle n’est pas rapportée, elle n’existe pas et il n’y a pas lieu de s’en occuper.


Technique n°2 : Superficialité

N’aborder la controverse qu’en périphérie, sur des points mineurs voire pittoresques. Eviter soigneusement les points clés de l’argumentation.


Technique n°3 : Indignation

Rejeter le sujet de façon indignée ("jamais une chose pareille ne serait possible"). Jouer sur le sentiment d’incrédulité ("il y aurait eu des fuites", "ça se saurait", …)


Technique n°4 : Rumeur

Considérer la controverse comme une rumeur de plus, sans fondements, quels que soient les arguments présentés.


Technique n°5 : Homme de paille

Présenter la position de son adversaire de façon volontairement erronée, en sélectionnant son argument le plus faible, en amplifiant sa portée puis en le détruisant.


Technique n°6 : Messager

Décrédibiliser le porteur du message. Par extension, associer les opposants à des dénominations impopulaires telles que « excentrique », «extrême-droite », « gauchiste », « terroriste », «conspirationniste », « radical », « fanatique », ou même « blonde »etc…


Technique n°7 : Biais

Exacerber tous les faits qui pourraient donner à penser que l’opposant opère en dissimulant ses véritables intentions ou est sujet à tout autre forme de biais.


Technique n°8 : Confusion

Quelque soit le niveau de la polémique mais sans y faire référence, confirmer la thèse officielle par un communiqué laconique sur une nouvelle étude favorable et rassurante.


Technique n°9 : Autorité

S’associer à l’autorité (organismes internationaux etc.) et présenter ses arguments avec suffisamment de jargon, de détails techniques et de sources pour les crédibiliser.


Technique n°10 : Innocence

Faire l’innocent. Quelle que soit la solidité des arguments de l’opposant, éviter la discussion en leur contestant toute crédibilité, toute existence de preuves, toute logique ou tout sens. Mélanger le tout pour un maximum d’efficacité.


Technique n°11 : Amalgame

Associer les charges de l’opposant à des charges farfelues facilement réfutables, qu’elles soient antérieures ou le fait d’autres opposants. En y étant associées, les charges subséquentes, quelle que soit leur validité, sont alors beaucoup plus facilement discréditées.


Technique n°12 : Diviser

Diviser pour mieux régner et par extension mettre l’accent sur les différences entre les différents courants des opposants et l’impression de chaos que cela procure.


Technique n°13 : Pseudo-débat

Présenter la version de l’opposant en premier lieu puis démentir par une succession de déclarations issues de sources faisant apparemment autorité.


Technique n°14 : Confession

Admettre avec candeur que des manquements (mineurs) ont été identifiés et que des solutions ont été apportées. Les opposants cependant en ont tiré parti pour gonfler la controverse et tenter de démontrer ce qui n’existe pas.


Technique n°15 : Édulcorer

Utiliser des termes techniques sans contenu émotif pour décrire le problème.


Technique n°16 : Énigme

Les énigmes n’ont pas de solution. Étant donné la multitude des paramètres, des intervenants et de leurs interactions, le sujet est bien trop complexe pour ne pouvoir être jamais résolu. Une technique couramment utilisée pour décourager ceux qui cherchent à suivre…


Technique n°17 : Solution complète

Éviter le problème en exigeant de l’opposant qu’il fournisse une solution complète à la résolution de la controverse.


Technique n° 18 : Omission

Omettre des preuves, des publications ou des témoignages contraires. S’ils n’existent pas, ce ne sont pas des faits, et le sujet ne doit pas être couvert.


Technique n°19 : Sang froid

Amener l’opposant à argumenter dans une position difficile et jouer sur sa perte de sang froid pour le décrédibiliser.


Technique n°20 : Expertise

"You don’t bite de hand that feeds you", disent les Anglais. Créer son propre groupe d’experts et le financer directement ou indirectement.


Technique n°21 : Preuve impossible

Ignorer les preuves présentées par l’opposant comme étant non pertinentes et lui demander des preuves inaccessibles, que ce soit matériellement (non disponibles ou soustraites au regard du public), techniquement (années de recherche) ou financièrement.


Technique n° 22 : Déni

Dénier toute crédibilité ou être extrêmement critique vis à vis de publications, de témoignages ou même de propos officiels d’organes de pouvoir, en les désignant comme des « sources non valides » ou « des éléments sortis de leur contexte».


Technique n°23 : Fausse preuve

Introduire des éléments contradictoires par rapport à l’argument de l’opposant, au besoin en fabriquant de fausses preuves, par exemple sous la forme d’études scientifiques au protocole particulièrement étudié.


Technique n°24 : Grand Jury

Organiser un grand jury ou des états généraux avec tous les atours de la consultation la plus large et la plus ouverte qui soient. Neutraliser ensuite les sujets qui fâchent et présenter le rapport final comme étant l’état du consensus général.

Technique n°25 : Diversion et distraction
Créer l’évènement ailleurs pour distraire et écarter l’attention du public.

France, Pédophilie Dans Les Hautes Sphères

           

                                     1970

« Les 27, 28 et 29 janvier, devant la cour d’assises des Yvelines vont comparaître pour attentat à la pudeur sans violence sur des mineurs de quinze ans, Bernard Dejager,Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt, qui arrêtés l’automne 1973 sont déjà restés plus de trois ans en détention provisoire. Seul BernardDejager a récemment bénéficie du principe de liberté des inculpés.
Une si longue détention préventive pour instruire une simple affaire de « mœurs » où les enfants n’ont pas été victimes de la moindre violence, mais, au contraire, ont précisé aux juges d’instruction qu’ils étaient consentants (quoique la justice leur dénie actuellement tout droit au consentement), une si longue détention préventive nous parait déjà scandaleuse. Aujourd’hui, ils risquent d’être condamnés à une grave peine de réclusion criminelle soit pour avoir eu des relations sexuelles avec ces mineurs, garçons et filles, soit pour avoir favorisé et photographié leurs jeux sexuels.

Nous considérons qu’il y a une disproportion manifeste d’une part, entre la qualification de « crime » qui justifie une telle sévérité, et la nature des faits reprochés ; d’autre part, entre la caractère désuet de la loi et la réalité quotidienne d’une société qui tend reconnaître chez les enfants et les adolescents l’existence d’une vie sexuelle (si une fille de treize ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire ?) La loi française se contredit lorsqu’elle reconnaît une capacité de discernement d’un mineur de treize ou quatorze ans qu’elle peut juger et condamner, alors qu’elle lui refuse cette capacité quand il s’agit de sa Vie affective et sexuelle.
 Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit. Nous ne comprendrions pas que le 29 janvier Déjauger, Gallien et Burckhart ne retrouvent pas la liberté. »

Liste des signataires

 
Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Judith Belladona, docteur Michel Bon, psychosociologue Bertrand Boulin, Jean-Louis Bory, François Chatelet, Patrice Chéreau, Jean-Pierre Colin, Copi, Michel Cressole, Gilles et Fanny Deleuze, Bernard Dort, Françoise d’Eaubonne, docteur Maurice Erne, psychiatre Jean-Pierre Faye, docteur Pierrette Garrou, psychiatre Philippe Gavi, docteur Pierre-Edmond Gay, psychanalyste docteur Claire Gellman, psychologue, docteur Robert Gellman, psychiatre André Glucksmann, Félix Guattari, Daniel Gurin, Pierre Guyotat, Pierre Hahn, Jean-Luc Henning, Christian Hennion, Jacques Henric, Guy Hocquenghem, docteur Bernard Kouchner ( !!!), Françoise Laborie, Madeleine Lak, Jack Lang, Georges Lapassade, Raymond Lepoutre, Michel Leyris, Jean-François Léotard, Dionys Mascolo, Gabriel Matzneff, Catherine Millet, Vincent Montail, Docteur Bernard Muldworf, psychiatre Négrepont, Marc Pierret, Anne Querrien, Grisldis Ral, François Régnault, Claude et Olivier Revault d’Allonnes, Christiane Rochefort, Gilles Sandier, Pierre Samuel, jean-Paul Sartre, René Schérer, Philippe Sollers, Gérard Soulier, Victoria Therame, Marie Thonon, Catherine Valabrgue, docteur Gérard Valls, psychiatre Hélène Védrines, Jean-Marie Vincent, Jean-Michel Wilheim, Danielle Sallenave, Alain Cuny.

France Pédophilie : Hommage Aux Courageux Citoyens


France, Criminalité Organisée Sur Nos Enfants.
Magistrature Criminelle.

Hommage aux courageux citoyens qui dénoncent le crime sur nos Enfants en France.
Hommage aux victimes anonymes.

Politiques, hommes et femmes, qui ne faites rien depuis des années, malgrè le rapport courageux et dramatique de Juan Miguel Petit de l'ONU sur l'Enfance maltraitée en France.

"Loge-maçonnique : Mafia" (Juan-Miguel Petit).

Pour voir la vidéo : http://pedopitchoun2.blogspace.fr/2433556/Hommage-Aux-Courageux-Citoyens/

France Réseau Pédophile Satanique



Victims of the paedocriminal network Zandvoort testify


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Victimes du réseau pédocriminel Zandvoort témoignent
Marcel Vervloesem vous répond... Le magistrat déculotté identifié sur l’un des cédéroms de Zandvoort avec Nordine (11 ans), apparaît avoir un rôle central dans la machination qui a prévenu que les criminels du réseau ne répondent pas de ce qu’il appelle lui-même un crime contre l'humanité. Les 100.000 photos de pornographie et actes de barbarisme sur des enfants apparaissent n’être qu’un pale reflet d’au moins le double de victimes : des mères et des pères, qui dés qu’ils ont suspecté avoir un pervers dans leur entourage, ont été happés par une spirale de violences, dans le cadre d’un système qui les condamne pour des crimes dont ils refusent de se rendre complice. Ils sont terrorisés jusqu'à être convaincus de fuir, puis condamné à de lourdes peines de prison pour enlèvement parental. Des enfants qui ne se connaissent pas, qui vivent à des milliers de kilomètres l'un de l'autres, ont parlé de cérémonies macabres costumées, avec des meurtres d'adultes. Il s'agit vraisemblablement ce qui arrive aux parents qui ont eut le malheur de quitter leurs proches en parlant de "changement d'identité".
Des mères, possiblement des centaines, peut-être des milliers ont été objet de viols et de tabassages. L’une décrit un viol collectif commandé, sous la surveillance du pédocriminel dont elle cherchait à protéger sa fille. Leurs enfants ont continuellement des "accidents". Elles ont toutes été objets de surveillances, le plus visible possible. Elles ont toutes vu un déploiement de moyens peu commun: voitures et camionnettes munies d'antennes et caméra vidéo, ainsi que des micros branchés aux prises
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des sèche-cheveux. Tout est calculé pour faire croire qu'il s'agit de services policiers. Nul n'imagine qu'il pourait s'agir d'une mise en scène payée par le réseau, car la corruption de policiers ne fait aucun doute. Il s'agit d'un contrat, payé 250.000-euro, pour terroriser le parent protecteur et ceux susceptibles de les aider. C'est bien payé, considérant que si meurtre il y a, il est exécuté par une bande de psychopathes, mais c'est bon marché, considérant que cela épargne la prison au contractant et lui permet de continuer l'exploitation de l'enfant. Les parents frappent à toutes les portes, mais les seuls qui ouvrent leurs portes assurent que le défaut d'assistance de la police relève d'une décision politique pour protéger des hautes personnalités impliquées dans le réseau. Ce n'est pas loin de la vérité: il s'agit d'une décision politique de psychopathes parmi ces personnalités, mais pas des autorités. Une organisation, officiellement partenaire du magistrat déculotté et de Child Focus, a proposé à une mère d'aller à Nice, dans le Midi de la France, où elle obtiendrait des aides financières pour changer l'identité de sa famille pour se réfugier aux Etats-Unis. En d'autres termes, cette organisation offre des faux passeports, mais pas de fausses cartes vertes pour vivre légalement sur le territoire américain. Le "Comité International de la Dignité de l’Enfant" - CIDE, a été fondé par George Gladtz, membre du parlement suisse et fonctionnaire du Service de la Protection de la Jeunesse. Il promettait "l'asile politique" en Suisse, où le psychiatre Gérard Salem, président de la Commission vaudoise de prévention des mauvais traitements, qui sera sollicité en qualité d’expert, pour constituer un dossier solide comme du roc. Plusieurs communautés religieuses dans la même région leur offraient le gîte et le couvert, ce qui explique que les victimes ont des expériences différentes, du meilleur au pire.
Epuisées et terrorisées, toutes les victimes tombent dans un piège où un autre, puis se retrouvent objets de mandat international avec ordre d'arrestation immédiate pour enlèvement parental. Elles sont alors jetées en prison et déchues de leurs droits parentaux, qui reviennent au parent que l'enfant accuse d'abus sexuels. Ils ne sont libérés qu'à la majorité, détruits autant que possible, de manière à ce qu'il suffise de leur souffler dessus pour les convaincre de renoncer à demander justice.
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Nonettes et experts ont vu année après année, l'asile politique refusé à ces femmes, au motif qu'elles étaient originaires d'un état démocratique. Ils ont accueilli ces enfants, sans jamais conseiller à leur mère de rentrer au plus vite avant que le piège ne se referme. Georges Glatz et Gérard Salem viennent d'être éclaboussés par un scandale de pédopornographie en Suisse, comme experts, donc rien d'assez sérieux pour les envoyer en prison.
Ces vérités judiciaires qui coûtent 250.000-euro
Toutes les affaires rapportant assez d’argent peuvent être juridiquement traitées par les maffias à ce prix. Ceci comprend les affaires sans rapport avec les réseaux pédocriminels. Il en est ainsi pour une vieille dame fortunée qui habite Bruxelles (Belgique). Sa fille unique a demandé qu’elle soit protégée par une tutelle, car elle vit à Montpellier (France) et elle a un oncle très gourmand. L'administrateur dans la poche de l'oncle, toute sa fortune s’évapore sans que les juges ne veuillent voir ce qui ce passe. Si l'oncle parvient à "convaincre" un juge de faire interner la fille en psychiatrie après le décès de sa mère, 250.000 euro est peu cher payé pour un gros bénéfice. Les jugements Zandvoort sont précédés d'appels téléphoniques anonymes de personnes qui engagent la conversation en se disant victimes de faits similaires. Des dérapages dans ces conversations font apparaître que l'anonyme connaît aussi bien l'avocat de la partie adverse, que le contenu du dossier. Un jugement de la Cour d'Appel de Bruxelles pourrait révéler que l'avocat de la partie adverse rédige luimême la vérité judiciaire que les magistrats doivent prononcer. Ils ont statué sur une faute que la victime avait racontée lors du téléphone anonyme, mais qui était absente des conclusions de son avocat. Marcel Vervloesem a collé des pages de son dossier avec une pointe de Typex. Elles collent toujours, donc elles n'ont jamais été lues. La majorité des magistrats qui traitent ces affaires sont suspectés multiplier les fautes de procédure en raison de chantage ou de menaces, mais sans imaginer le crime contre l’humanité auquel leur confrère déculotté fait référence, selon des sources proches de Scotland Yard. D’autres juges soulèvent de sérieuses questions. On constate par exemple, que le magistrat déculotté, prédateur du réseau Coral, est membre d’une association du magistrat de la Cour de Cassation, qui n’a vu aucune faute de procédure dans le fait de confier un enfant présumé victime du même réseau Coral, à la garde de son père qu’il accuse d'abus. Toutes les victimes de Zandvoort ont vu les pièces principales de leurs dossiers qui disparaissaient. Des mères racontent avoir été entièrement dépossédées leurs biens, réduites à vivre du minimum vital. Des pères racontent avoir été jetés en prison, sans comprendre un mot de ce qui leur était dit, des magistrats les jugeant susceptibles d’être "chef d'un réseau pédophile".
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Une jeune femme témoigne d’une cabale pour la mettre sous tutelle dés sa majorité. L’administrateur percevait ses allocations, l'obligeait à mendier pour vivre et refusait de traduire en justice, son père adoptif qui l’avait torturé toute sa jeunesse et sa mère adoptive complice. Une mère dit que 90% des avocats se débinent, où oublient des éléments capitaux dans leurs conclusions. Aucune, à sa connaissance n'ont gagné le recours au Tribunal Européens des Droits de l’Homme, de façon à ce qu'elle n'a trouvé inutile d'essayer. Les victimes Françaises parlent d’expertises faites en violation de la loi française, avec un seul expert les accablant d'absurdités durant la totalité des procédures. Plusieurs victimes belges parlent également d’expertises les présentant comme de dangereux psychopathes susceptibles d'avoir abusé de leurs enfants, qui expliquent que ces enfants ont accusé l’autre parent du fait qu’ils auraient été aliénés. Une mère française raconte que le médecin de la prison l’avait fait interner en psychiatrie après une tentative de suicide. Elle avait reçu de tels surdosages de médicaments, qu’elle s’en était retrouvée couvertes de plaques brunes et d’œdèmes. De retour à la prison, ce médecin lui a dit : Oh… je n’ai jamais vu un œdème plus gros ! Et comme elle ne prenait pas les médicaments, il ordonnait qu'ils lui soient injectés de force. Elles sortent de prison à l’état de légume. Toute n'ont pas la force de se désintoxiquer. Les 10 et 17 juin 1998, Marcel Vervloesem membre de l’association belge Werkgroep Morkhoven, mettait main sur 21 cédéroms chez le pédocriminel, qui vendait ces images sur Internet. Il remit le premier cédérom à la justice belge devant les caméras de la presse internationale le 24 août 1998.
Gina Bernard n'avait aucune expérience, mais la rage au cœur pour aider à démanteler ce réseau. Elle a donné le premier cédéroms de 8500 photos au journaliste Serge Garde et diverses organisations internationales dont le CIDE, dit Marcel Vervloesem avec tristesse.
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Gina Bernard a été objet d'un contrat identique à celui décrit par les mères victimes de Zandvoort: filature, téléphones anonymes et son fils renversé par une voiture. Elle a été assassinée 15 novembre 1998, sa voiture s'écrasant sans laisser de trace de freinage.
En 1999, l’UNESCO a fait une réunion d’experts sur l’exploitation sexuelles des enfants et la pédo pornographie sur Internet. Federico Mayor, alors directeur général, oublia d’inviter Marcel Vervloesem, mais il nomma une jolie poupée, Mme Sellier "Présidente du Mouvement Mondial de Citoyens pour Protéger l’Innocence en Danger". Le magistrat déculotté venait d’installer à Genève, la succursale d’une de ses nombreuses organisations en faveur de l’enfance. Serge Garde, qui a reçu le cédérom avant le 14 novembre 1998, ne déclancha le scandale Zandvoort en France, que le 24 février 2000, dans le journal l’Humanité. Le ministre de la justice français, qui semble souffrir de trous de mémoire épouvantables, fit un appel à la nation, pour obtenir le cédérom qu’elle avait reçu un an plus tôt. Ceux qui soupçonnaient que leurs enfants figuraient au fichier, furent orientés vers le "Mouvement Mondial de Citoyens pour Protéger l’Innocence en Danger", et non au Werkgroep Morkhoven, qui pouvait leurs apporter les pièces susceptibles de démontrer si leurs enfants étaient tombés entre les mains de ce réseau. Le CIDE était devenu une fondation d’utilité publique. Parmi les manoeuvres de séduction pour attirer la confiance, il y a de donner des pièces à conviction, qui seront anéanties par des menaces aux juges ou des juges corrompus, qui auront charge du dossier.
Le CIDE, qui collectionne les dossiers, possédait la dénonciation du réseau Coral 1982 par Jean-Claude Krief. Elle est illustrée d'une photo du magistrat déculotté, qu'il identifie en toutes lettres avec Nordine. Le cédérom fait apparaître que cette photo a été achetée par un magazine brésilien, qui fait passer
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Nordine pour un enfant latino-américain. George Glatz a donné copie de ce document au Werkgroep Morkhoven, mais pas à Patricia Poupard, alors que les mêmes déclarations de Jean-Claude Krief font apparaître que son fils et elle pourrait être victimes de la même branche du réseau. Elle téléphonera au magistrat déculotté pour lui demander de l'aide, sans imaginer une seconde qu’il figure sur le même cédérom que son fils. Il était affable au début, puis coupait sèchement :- Prenez un avocat ; écrivez aux magistrats. Mr Bertossa, Procureur à Genève a invité Patricia Poupard, par commission rogatoire, à visionner le 14 juillet 2000, les vingt-et-un cédéroms, sans pour autant les avoir obtenu du Werkgroep Morkhoven. Marcel Vervloesem était alors poursuivi pour avoir possédé le premier cédérom de pédopornographie donné à Serge Garde et les organisations internationales par Gina Bernard-Pardaens. Il n’avait jamais eu l’intention de commander son propre meurtre ou de donner à la justice belge un justificatif pour le condamner, en donnant les vingt autres cédéroms en dehors d’un cadre strictement officiel. Il ne les a donné que le 4 mars 2001 au procureur Bourlet, sur base de la nouvelle loi européenne qui demandait aux pays membres de faciliter la remise de tel matériel aux autorités. Par conséquent, la Suisse n'avait donc pas ces vingt cédéroms le 14 juillet 2000. Pourtant, Bernard Valadon, qui gérait un site Internet pour la diffusion d’articles sur la pédo criminalité, a assuré avoir eu copie des vingt-et-un cédéroms. Il en a fait une description détaillée, les disant comporter 77.000 photos, dont 8.500 dans le premier cédérom. Il a dit les avoir donné à un magistrat à Paris. Il semblait raconter des sornettes pour se faire de la publicité, mais les victimes de Zandvoort confirment que vingt-et-un cédéroms leur ont bien été montré. On peut donc en conclure qu’il y a deux fichiers différant: 1. Le fichier ZANDVOORT avec 8.500 fichiers sur le cédérom remis à Turnhout + 93.000 fichiers remis au Procureur Bourlet, soit 101.500 fichiers. 2. Le fichier GLATZ avec 77.000 fichiers déduit des 8.500 fichiers en provenance de Zandvoort, soit 68.500 fichiers d'origine inconnue. Interpol définira la différence entre ces fichiers. Les questions sont: où, quand et comment ce membre du parlement suisse s’est-il procuré ces 68.500 photos de crimes contre les enfants ? Le rush des mères est survenu en juillet 2002, après un battage médiatique sur une mère française expulsée de Suisse qui a été retrouvé morte éventrée à la frontière franco-suisse. Une exécution, telle que les enfants en témoignent, mais le cadavre mis en évidence pour exacerber la terreur. Des hommes se présentaient alors chez les victimes et n'avaient pas de mal à les convaincre de fuir. Comme on doit prouver qu'on est persécuté pour avoir l'air d'être du bon côté, Georges Glatz a eu un procès de pacotille. Comparez les condamnations et vous verrez qui est qui: 1000 francs suisses pour "complicité d’enlèvement d’enfants de moins de 16 ans". Il avait alors appelé Marcel Vervloesem pour
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se poser en martyr, mais sans lui signaler qu’il s’agissait de victimes de Zandvoort. Il a été libéré en appel, la Cour ayant souligné qu’il avait agi "uniquement pour des motifs plus qu’honorables". Le Werkgroep Morkhoven n'a découvert l'holocauste qu'au hasard d'une recherche Internet, par une mère qui appelait au secours sur un forum. Normalement, leurs messages sont effacés, disent-elles, ce qui rappellent nos douze sites détruits par piratage en trois ans. Les parents n'ont pas compris pourquoi nous n'avions jamais parlé d'eux. Pas une seule organisation ne nous averti. La justice belge s'est donnée une peine folle pour nous faire croire que nous n'avions que des enfants abandonnés, où avec des parents fous qui nous attaquaient. Le Procureur TACK est allé jusqu'à expliquer que le dossier Zandvoort était une grosse bulle vide: une bulle crevée. Nous avons bien vu des sites Internet qui mélangeaient le vrai et le faux, qui soutenaient les mères en fuite, mais sans jamais mentionner Zandvoort. Ces mêmes sites avaient des pages "spéciales diffamations" sur toutes les personnes susceptibles de les aider, avec une place d’honneur pour Marcel Vervloesem et le Palais Royal belge. Nous pensons que le courrier au Roi et à la Reine concernant ces affaires ne leur parvient pas. Frédéric Lavachery, qui cherchait contact avec toute les victimes, est considéré comme le champion des diffamateurs, depuis qu’il a accusé le roi de pédophile, sur base d’une prétendue analyse comparative de fesses. Aucun magistrat n’osa prétendre que le Roi avait montré son derrière à Lavachery, pour qu’il puisse le comparer à celui de la photo. Un mandat international a été dressé à son encontre, mais Frédéric Lavachery était si sur de ses protections, qu’il pensait pouvoir inviter une princesse de Croÿ à un rendez-vous sur les marches du palais de justice de Bruxelles. Depuis, il bénéficie d’un asile pédo politique en France, où il vit dans une maison achetée avec le fruit de ses calomnies sur le Roi, sans que cela ne cause de scandale diplomatique. Soyons clairs: les maffias ne s’intéressent qu’aux contrats exécutables rapidement pour un maximum d’argent en un minimum de temps. Elles ne perdent pas leur temps à des meurtres rituels, ni a des petites guerres sur Internet ou des menaces téléphoniques anonymes. D'autres personnes se chargent de ça. Ils sont conscients de commettre des délits, tels que diffamations, piratages et menaces, ce qu'ils trouvent très drôle de pouvoir faire en toute impunité. Certains ignorent possiblement être la cheville ouvrière d'un crime de masse. Parmi eux, une grosse femme pleine de boutons, épouse d’un énergumène qui se rase de la tête au pied pour prendre des bains de soleil en string; une vieille corneille qui dit souffrir d’une multitude de maladies mortelles et a multiplié ses identités, pour faire croire qu’une victime avait assassiné sa fille; un crapaud qui se prend pour un bœuf, et se vante de faire détruire des sites Internet sous prétexte qu’il y aurait été diffamé; un motard qui se dit professeur et envoyait une photo de son derrière nu, avec un signal routier coincé entre les fesses. Ce ne sont que des caricatures. Certains d'entre eux ont lancé une attaque en bonne et due forme du service de médiation du Parlement Européen en matière d’enlèvement parental international. Ce qui ne semblait avoir aucun sens, devient
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clair. Si toutes les mères qui s'enfuient de terreur appellent Evelyne Gebhardt, Médiatrice du Parlement Européen pour les Enlèvements Parentaux Internationaux, ou sa collaboratrice Magdalena Kleim pour leur expliquer ce qui les a pousser à fuir, qui leur a promis quoi pour les persuader de fuir, où sont-elles et à quel prix, la question sera très vite réglée au plus haut niveau de l'Europe. Leur mission ne leur permet que de s'occuper des mères actuellement en fuite à l'étranger, mais la Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti prend contacte avec le Parlement Européen pour étudier ce qui peut être fait pour les victimes jugées et qui vivent dans la terreur, leurs enfants aux mains du réseau. Honte à vous, magistrats, avocats, journalistes et garants de la démocratie, qui avez participé à cela en fermant les yeux. A présent que vous ne pouvez plus prétendre ignorer ce dont vous avez été l'outil, vous serez le poignard qui égorgera la prochain père ou éventrera la prochaine mère; vous serez la main qui paiera l'argent aux petites crapules qui violent des femmes afin que des psychopathes puissent continuer leurs cérémonies débiles. L'un d'eux se vante de couper 25 têtes l'an. A votre bonne conscience! Parents victimes de Zandvoort: écoutez Marcel Vervloesem. Ne quittez jamais votre pays, mais changez de région, de manière à obliger votre ex de payer un nouveau contrat de 250.000-euro.
SOS ZANDVOORT VICTIMS
Papas et Mamans qui avez enlevés vos enfants pour les sauver du réseau: faites confiance à Magdalena KLEIM du Parlement Européen. C'est une amie ; elle est juriste et son service vous aidera.
Magdalena Kliem - C/O Parlement Européen ADRESSE : ASP 05G302 - Rue Wiertz - B-1047 Brussels, Belgium EMAIL: MediationChildAbduct@europarl.
Si vous suspectez que vos enfants sont sur l'un des cédéroms de Zandvoort; si vous avez été poussé à fuir pour échapper à des menaces ou condamné dans des jugements anormaux, contactez-nous.
Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti ADRESSE: Rue Faider, 10 - 1060 Bruxelles EMAIL: fondation.princesse.de.
europa.eu
Fax: 0032 2 283 2042

croy@droitfondamental.eu
On est débordé, mais on trouvera de l'aide pour traiter chacun de vos dossiers. Nous aimons vos enfants comme les notres. Aidez-nous à ne jamais permettre que l'histoire vous oublie.
postmaster@droitfondamental.eu.
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Victims of the paedocriminal network Zandvoort testify
Editeur responsable: Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti - 10 Rue Faider - 1060 Bruxelles - Belgique - Droit de réponse: postmaster@droitfondamental.eu
http://droitfondamental.eu/001-ecoutez_les_victimes_de_zandvoort-fr.htm (9 of 9)18/06/2010 23:03:29