lundi 13 juin 2011

France Pédophilie : Les "Mengelé" de la médecine. Dossier Zandvoort France

BORDEAUX-AQUITAINE-FRANCE
PSYCHIATRIE , Criminalité Organisée(les noms à la fin de l'article)

Avant propos: Au seul fait de dénoncer la criminalité sur mon Enfant, dossier Ulrich dit Zandvoort, voila ce que l'on m'a fait subir en France.

Non-lieu du dossier pédo- criminel en 2001 pour les parties civile et 2003 le définitif par la juge RINGOT Danielle(Paris), malgrè deux dénonciations des services sociaux pour abus sexuel du père, puis une analyse ou l'Enfant a des chlamydias, maladie sexuelle.

Convocation par commission rogatoire en Suisse pour visionner le CDR pédophile à la brigade des mineurs de Genève en Suisse, le 14 juillet 2000, alors que je suis française.

Incarcérée en avril 2004, pour avoir protégé mon Enfant qui accusait son père et les amis de celui-ci, à la prison de  Gradignan(33), je déposerais des plaintes. Trois semaines après, je recevrais l'enveloppe toujours ouverte avec toutes mes plaintes, ce qui est illégal en France.
Toutes les plaintes ont été classées. Mes effets personnels et mon dossier ont été gardé 23 mois illégalement par la justice française me privant ainsi de défense et des preuves.


Par la suite, de temps en temps je verrais monsieur Dominique DANDELOT, psychiatre à la maison d'arrêt de Gradignan(33) et à l'hôpital de Charles Perrens (33). Il dira qu'il a été en Suisse. Nos rencontres dureront peu de temps à chaque fois et je refuserais parfois de le rencontrer car il me dira souvent :
« Vous êtes mal Madame, je vous vois au plus mal. Vous êtes dangereuse, vous Nous faites peur !!!

Il sourira lorsque je parlerais de pédophilie, cela ne l'intéresse pas, le viol n'existe pas et les symptômes qu'avait mon fils non plus, de ne plus avoir de nouvelles de mon fils non plus.
Il prendra plaisir à me parler de montre que je n'avais plus. Il me trouvera négligée. Je me lave tous les jours et j'ai peu de vêtement, mais qui sont propres. Je me coupe la frange avec un rasoir Bic et je ne peux me teindre les cheveux. Je n'ai qu'une paire de chaussure d'hivers, en cuir usée, dont les semelles se sont décollées( mes documents du dossier et mes effets personnels sont retenus par l‘administration illégalement).
Un jour, je lui dirais : « Monsieur soit vous êtes con, soit vous êtes bête. Je préfère la première solution, car la connerie est passagère. Mais la bêtise amène la méchanceté, le mépris de l'individu, la haine, pas celle qui amène de l'amour, celle qui est vicieuse, pernicieuse, perverse et qui pousse à l'assassinat psychologique, physique et financier. » Propos rapporté par écrit au Procureur de la République (Maison d'Arrêt de Gradignan(33) en 2004).
Monsieur Dominique DANDELOT psychiatre, me poussera au suicide. D'un vieux tee-shirt, je fabriquerais dans les toilettes, une corde tressée, pour me pendre. Dans un état second, par des chocs psychologiques, je la mettrais autour du cou, accrochée au support de la télévision dans les toilettes, mais l'image de mon fils, m'apparaîtra et je ne recommencerais plus.
Des surveillantes me diront qu'il n'est pas bien. Je ne suis pas dangereuse et polie.
Par le manque de traitement pour mon arthrose, il m'arrive de trembler de douleur et de ne plus pouvoir parler
Maître Roorick et maître Nazeri, du même cabinet viendront me proposer de me défendre. Ils viennent à la demande de ma famille et me disent que c'est ma mère qui paye.
Je les refuse, ils insistent en disant que c'est pour m'éviter l'internement. J'accepte sans confiance.
La première audience ne sera pas en huit clos et il n'y avait que des femmes dans la salle avec des cheveux blanc. L'avocat ne me défendra pas. Elle ira vers (le père), lui mettra la main sur l'épaule et lui dira: « Elle ne changera pas d'avis » Elle me dira tout doucement: « Je sais votre famille est dedans, ne parlez pas du père dans votre cellule ». Elle oubliera de me dire que la préventive était terminée et que je devais sortir de prison au bout de quatre mois et vingt sept jours.
Toutes les autres seront en huit clos, sans que l'on m'en avertisse, une fois avec la salle remplie d'avocates et une fois avec la salle remplie d'avocats. Je perdrais tout, je me ferais insulter. Je verrais des magistrats suffisants, pédants.
A chaque fois, je resterais longtemps dans une cellule salle, qui sent mauvais ou l'odeur vous prend à la gorge et à la tête et qu'il faudrait de temps en temps nettoyer au karcher. Palais de Justice de Bordeaux(33).
18 mois de prison (pire que des criminels ou très grands délinquants) dont 9 avec sursis, 3 ans de mise à l'épreuve avec injonction de soins et interdiction de quitter le territoire français, interdiction d'approcher mon fils (janvier 2009, fin du dossier).
A une autre audience(août 2004), un magistrat dira : « Vous sortez dans quelques heures ou quelques jours ». J'ai attendu, préparé mes affaires dans la cellule et je suis restée en prison au-delà du délais légale de la prévention. De l'espoir et je tombe à chaque fois un échelon plus bas.
La demande de pourvoi en Cassation, perdu. Janvier 2008, procédure éteinte.
Tout ce que j'avais a été vendu aux enchères en 2003, les jouets de mon fils aussi. Impossible d'avoir les documents.
9 mois de prison ferme, au cours desquels je ne prendrais aucun anxiolytique ou antidépresseur.9 mois ou pour récupérer, je dormirais d'un sommeil réparateur, car comme je le disais au psychiatre monsieur Dominique Dandelot, chaque chose en son temps, un problème après l'autre. Il me dira en souriant: « Juridiquement»....
9 mois que je n'ai pas vu mon fils, mais je lui écris. Il aura passé 1 mois à la DDASS, car son père n'en voulait pas, ni la famille des deux côtés. La DDASS
9 mois ou parfois j'entendrais les cris insupportables de détenues.
Une personne me dira qu'il y avait micro et caméra en cellule, alors, seule, je parlerais et je me défoulerais par la parole. Le soir en me couchant, je dirais : « Honte à vous » et je débrancherais l'antenne de télé et la prise électrique.
Un soir dans la nuit, je serais réveillée, une surveillante ouvrira la porte de la cellule et un homme en uniforme me regardera, m'observera. C'est anormal. Je parle trop dans ma cellule.
La cellule est vétuste, les toilettes sont salle, ainsi que les murs, dont je nettoierais la partie lit avec une brosse à dent, la vitre est fissurée et l'air froid s'y engouffre l'hiver et je mets une couverture sur les épaules pour me tenir chaud.
Je refuserais une fouille corporelle entière sans violence et insulte.
La surveillante fera un rapport et je passerais à un contrôle disciplinaire, sans avoir de sanction et elle me présentera des excuses dans ma cellule. Une autre surveillante, fera de même par mon refus et simulera une agression. Contrôle disciplinaire. Cela les amuse de me voir diminuée, humiliée et terrorisée. Ils rient. Une avocate désignée d'office, l'association CRIC de Bordeaux, très agressive, dira dans le bureau que je suis paranoïaque et je devrais signer le document.
Les fouilles corporelles vont au -delà de la dignité humaine, humiliante, elles atteignent la psychologie, le moral. Ils vous enlèvent la pudeur. Cela peut devenir chez certaine personne, de la perversité, du voyeurisme malsain. Je suis ennuyée par une surveillante homosexuelle qui m'obligera à la tutoyer.
Je n'aurais pas pendant 9 mois de Maison d'Arrêt illégale, mes effets personnels et mes papiers du dossier. Sans mon dossier, je ne pouvais me défendre. Je devrais attendre 23 mois, après une plainte à l'encontre de la Maison d'Arrêt de Bonneville, pour en récupérer une partie par une avocate d'une organisation internationale (IED) En France, c'est illégal.
Je survivrais dans des conditions déplorables et serais traitée ou considérée, comme une criminelle, quelqu'un de dangereux pour la société, mon Enfant et moi, grâce à de la psychiatrie de complaisance pour protéger d'autres personnes.
J'ai attrapé des mycoses aux pieds dans les douches.
Ma demande de voir mon fils dans une salle aménagé n'aura pas de réponse.
A la douleur morale de ne plus voir mon fils, s'ajoute la douleur physique où je fais beaucoup de crises d'arthrose cervicale très handicapant es et douloureuses avec des poussées de fièvre, sans traitement adapté.
J'écrirais à monsieur Dominique PERBEN, Ministre de la Justice, 20 pages. Pas de réponse. 20 pages lus à la Cheffe de la Maison d'Arrêt de Gradignan. Monsieur Dominique PERBEN, visitera le deuxième étage des femmes lors de mon incarcération dépassant de plusieurs mois la préventive.
Madame Sabine FORZAN psychiatre de la Préfecture de Bordeaux, me recevra dans la prison, quelques minutes, pour me signifier mon départ en hôpital psychiatrique, le samedi 1er janvier 2005, sans autre précision.
« Je lui répondrais, madame, l'on sait quant on y rentre, mais pas quant on en ressort »
Elle ne me répondra jamais et je lui dirais : « Honte à vous Madame ».
Jamais, je n'avais vu cette madame FORZAN. Quelques mois plus tard, l'on me fera payer 30 € cette rencontre. Et encore des mois plus tard, je recevrais la facture à payer de l'internement abusif de 8 jours de l'hôpital de Cadillac... Illégal.
J'ai peur, je n'arrive pas à le croire, à réaliser ce que peut être la psychiatrie. Je ne sais pas dans quel hôpital, j'irais, je ne sais pas ce qui m'attend. J'ai peur de ne plus jamais revoir mon fils et si, dans quel état physique. J'ai peur de devenir un légume, j'ai peur de la déchéance neurologique.
Calme dans ma cellule j'attends (premier janvier 2005). On vient me chercher et je me trouve avec des infirmiers et un brancard. Ils veulent me faire signer un papier pour me rendre mes bijoux. Je signe en mettant une annotation pour dire qu'il en manque.
Le personnel pénitentiaire hausse le ton et s'énerve. Je dis qu'il en manque un autre en écaille de tortue, avec un signe vietnamien en or incrusté et sans bélière. La greffière répondra que c'est une pierre noire. Non lui dis-je, c'est de l'écaille de tortue dépolie. Elle s'énervera avec son collègue et ils deviendront très agressifs et violents.
Ils m'empoigneront et me mettront de force sur le brancard. Ils m'attacheront les poignets et chevilles brutalement sans que je me défende. Pendant 3 jours je garderais les traces des liens en cuir avec la fermeture de points en métal. Je reste calme et je ne sais pas où je vais.
Dans l'ambulance l'infirmier me dira que je vais à l'hôpital de Cadillac. Il répondra au téléphone que je suis calme. Avec un grand sourire, il me dira: « je suis un ami de monsieur Dominique DANDELOT » (psychiatre)
CADILLAC Hôpital, premier janvier 2005. monsieur Paul BONNAN y travaille.
Je serais détachée, mise en chambre d'isolement ouverte et deux infirmières viendront me remettre quelques bijoux et feront un inventaire avec moi. Je serais fichée comme les nazis le faisaient: Petit nez, grande bouche etc... Je devrais rester en pyjama nuit et jour. Ils me font passer pour très dangereuse.
Je verrais madame Eve PICQUEMAL (psychiatre) quelques instants et lui dirais que c'est un internement abusif, je ne suis pas dangereuse, c'est un dossier de maltraitance d'enfant qui accuse.
Elle ne me dira rien. Deux jours après, j'aurais une chambre. Je ne prendrais aucun médicament, l'on ne m'en proposera pas.
Mon vêtement me sera supprimé et je resterais en pyjama de l'hôpital, nuit et jour.
On ne me dit rien, ni le personnel ni le psychiatre. Quelques mois plus tard, je recevrais la facture à payer de mon internement abusif de huit jours à l'hôpital Cadillac(33) .Au bout de huit jours, on me transfert en voiture ambulance vers l'hôpital Charles Perrens à Bordeaux. monsieur Dominique DANDELOT y travaille.
On me laisse mes vêtements et les bijoux que je porte. Je suis mise en chambre d'isolement mais je peux circuler.
Je verrais madame Zouad BOUZGARROU-HADJERES (psychiatre) qui me recevra peu de temps, juste pour me dire : « Vous êtes malade de la tête ». Elle fera une ordonnance avec des neuroleptiques. Entretien terminé. C'est un assassinat légalisé...
Je suis en état de choc et de peur. Pendant 10 jours environ je refuserais le gobelet de neuroleptiques et resterais calme et posée. Ils me mettront en secteur fermé. Injonction d'office par piqûre d'Haldol matin et soir 5ml contre ma volonté.
Mes reins me brûlent, impossible de dormir, de me tenir allongé, de marcher, je ne tiens plus en place. J'ai cru que j'allais perdre mes reins dont un est plus bas. Je me suis vue mourir. Je ne peux que subir. Je suis dans un goulag.
De force, ils me drogueront, et je resterais en secteur fermé 3 semaines environ où je ne pourrais même pas sortir prendre le soleil.
Le médecin, monsieur Michel GRASSET (Psychiatre) s'y opposera. Ce même médecin me dira « je vous ai ajouté 3 mois de plus » sans qu'il ne m'aie reçu. Jamais je ne pourrais discuter avec un psychiatre.
Plus tard, ils me donneront du Solian, du Rivotril, du Risperdal, et de l'Haldol.
Je ne pourrais plus parler, ma bouche étant trop sèche, je marche mécaniquement à petit pas.
Un changement de médicaments, me fera baver, mon cœur battra vite, j'aurais un voile blanc sur la vue et je penserais à un glaucome.
Je ne peux plus penser, me concentrer, je prendrais du poids, je ferais un œdème de Quincke au niveau du visage qui durera une semaine. Œdème dû aux médicaments. Le médecin généraliste dit que : « C'est la première fois dans sa carrière qu'il voit un oedème aussi important.
Cela en amuse certain.
J'aurais des incontinences urinaires et mettrais des serviettes hygiéniques. Je ne peux plus réagir, penser. Je ne peux plus marcher. En état de choc permanent mes menstrues se sont arrêtées net à 47 ans.
Ils ne veulent pas entendre parler de thyroïde, d'arthrose cervicale qui me donne de la fièvre et de fortes douleurs.
Les neuroleptiques diminuent mon Levothyrox, car je n‘ai plus de thyroïde. Je deviens l'ombre de moi même. Ils m'assassinent légalement. Par les effets secondaires des neuroleptiques, j'ai des tâches marron sur tout le corps, je grossi, j'ai perdu 5 cm de taille au bout de quelques mois, problème de mémoire, de digestion, de concentration ainsi que d'autres effets irréversibles.
Je me ferais agresser violemment par un patient et mordre au bras jusqu'au sang.
Je garderais l'empreinte de sa mâchoire plusieurs jours. Je ne suis plus rien, je suis diminuée physiquement, je ne suis plus que l'ombre de moi-même. Je ne dors plus. Je n'ai aucune intimité d'hygiène dans la salle de bain ou dans ma chambre, un ou deux infirmiers ouvriront la porte pour me voir entrain de me déshabiller ou faire ma toilette. Toujours le même infirmier, qui le fait sciemment (pour l'avocat). Avec constance ils violent votre pudeur jusqu'à l'âme.
Ils veulent faire signer des documents lorsque vous êtes dans un état second par les drogues administrées d'office et de force. Je ne participe pas à l'atelier musical et de peinture. On me le reprochera.
Ce que j'entends, des bruits de toute sorte qui ne conviennent pas à mes oreilles.
J'ai étudié et pratiqué le piano, musique classique, un peu de jazz, de variété et je suis diplômée d'Art Plastique, restauration de toile. Diplôme d'Etat.
La nourriture est mauvaise, peu variée et suffisante.
La salade contient plus de vinaigre que d'huile. Les œufs durs sont recuits au four micro-onde et sont très indigestes. Toutes les semaines, se ressemblent, les menus sont les mêmes. Les patients se plaignent entre eux de la nourriture et s'ils peuvent sortir et s'ils ont des finances, achètent et consomment à l'extérieur. Sinon ils se ravitaillent de sucré au distributeur, pour ceux qui en ont les moyens. Les infirmiers disent que l'hôpital a obtenu un prix pour leur restauration !!!!
La drogue douce circule.
Il y a un patient qui dénonce un réseau pédophile dans le Dojo. Il maintient ses propos et se trouve interné depuis plus d'un an. Il a fui l'hôpital, puis a été repris. Deux SDF un jeune et un vieux parlent de souterrain, de choses étranges qui s'y passent et finissent par se taire. La personne la plus âgée interdira au plus jeune de parler.
Certaines personnes ne semblent rien à voir à faire avec la psychiatrie et beaucoup disent qu'ils ne parlent pas avec un médecin.
Les infirmiers relatent parfois n'importe quoi. C'est de la bêtise humaine. Ils infantilisent. Une infirmière me dira : » Eh! bien vous, vous aimez les médicaments. Je demandais un Efferalgan pour la fièvre et la douleur qu'occasionne mon arthrose cervicale. Un autre me dira : « Je traîne mon fils comme un boulet » de celui là, je m'en méfie, tout en plaisantant et en l'écoutant. Je me tais et reste vigilante. Ils détruisent sciemment.
Je ferais une demande de contre-expertise pour internement abusif.
monsieur Michel BENEZECH, psychiatre, expert, spécialiste de la criminalité. Il travaille à la Maison d'arrêt de Gradignan. Entretien d'une heure. Je n'avais pas été avertie de sa venue.
Je suis bien droguée avec de grosses difficultés de concentration et aucun dossier depuis des années pour aider ma mémoire. Je n'ai plus la chronologie des évènements, ils effacent ma mémoire volontairement. Impossible d'avoir le rapport.
Je lui demanderais à être enregistrée et à le transmettre à la Justice. Il m'enregistrera, me dira que c'est pour lui et qu'il ne transmettra rien. Je n'étais pas avertie de sa venue, j'ai parlé de mon fils, en terminant j'ai demandé :
« Si l'enfant ne mentait pas qu'en serait-il de la psychiatrie ?»
Je n'ai pas le rapport.
Leur méthode est celle des nazis, ils m'ont torturée, ont permis que mon fils se fasse prostituer et maltraiter par le père en toute légalité. Ils couvrent un réseau criminel de prostitution où la drogue circule.

LES PSYCHIATRES EN AQUITAINE - FRANCE

1)Monsieur Paul BONNAN, psychiatre, expert auprès du tribunal de Bordeaux, hôpital Cadillac(33)-France-Algérie.
2)Monsieur Dominique DANDELOT, psychiatre, Maison d'Arrêt de Gradignan, hôpital Charles Perrens(33)-France.
3)Madame Sabine FORZAN -JORISSEN, psychiatre, Préfecture de Bordeaux-France.
4)Madame Zouad BOUZGAROU-HADJERES, psychiatre, hôpital Charles Perrens(33) et CSM-France-Algérie.
5)Monsieur Michel GRASSET, psychiatre, hôpital Charles Perrens(33)-France.
6)Monsieur Denis PILLETTE, psychiatre, expert auprès du tribunal de Bordeaux, hôpital Garderose(33)-France.
7)Monsieur Michel BENEZECH, psychiatre, expert en criminologie(33)-France.
8)Madame Eve PICQUEMAL, psychiatre, hôpital Cadillac(33)-France.
9)Le médecin inspecteur de la DDASS de Bordeaux, madame BUI-NGUYENN.
10)Monsieur Claude AMIRAULT Psychologue, expert auprès du tribunal de Bordeaux, enseignant à l'école de la magistrature, puis à Ascain en gériartrie-France.
Je n'ai pas la plupart de leur rapport, refus de me les donner, donc pas de plainte. Impossible d'avoir leur rapport négatif de la plupart des médecins psychiatres.
Ceux que j'ai, sont du copier-coller de celui de monsieur Paul BONNAN.
Ses personnes couvrent un réseau criminel de prostitution.
Elles ont fait sciemment des faux en écriture et cela les amuse. C'est une tentative d'assassinat car j'aurais dû rester interné à vie, selon eux.
J'ai été forcé de côtoyer à l'hôpital Cadillac et Charles Perrens, pédophiles pervers, toxicomanes, criminels....
Tortures légalisée et prostitution de mon Enfant légalisée par les « Mengele » de la médecine dont un me menacera et sera très agressive avec moi, les autres avaient le sourire au bout des lèvres de leur méfait.
J'ajoute le psychiatre CAMPNAS(CSM(33))au début des dénonciations (1998 ou 1999 ?) qui pour mon Enfant ne voudra jamais me donner son rapport et me dire quoi que ce soit.
Si les chirurgiens sont les princes de la médecine, car ils réparent, les psychiatres en sont les ânes, car ils ne réparent rien, ils détruisent en jouissant de leur pouvoir virtuel. Des pervers qui s'ignorent.
A voir, Christian FLECHE, mon ex-beau-frère, infirmier-psychothérapeute, spécialiste du biodécodage, répertorié, classifié, comme secte en France. Il pratique la PNL, l'hypnose, a deux écoles pour enseigner. Il dit soigner des maladies graves. !!!
Un jour, il m'avait dit "qu'il voyait tout en bleu, que c'était un arc en ciel. avec sa voix monotone et que moi je voyais tout en gris ?"
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Dominique DANDELOT

Expert près la cour

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