lundi 13 juin 2011

PÉTITION DE SOUTIEN À MME POUPARD DONT LE FILS EST VICTIME DU RÉSEAU PÉDOCRIMINEL DE ZANDVOORT-FRANCE  

PÉTITION : JUSTICE POUR PATRICIA POUPARD



Présentée par la Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti, le 14 janvier 2009, à l'attention de
    - Président du Parlement Européen ; - Mr Sarkozy, Président de la République Française ; - Mme Dati, Garde des Sceaux français ; - Mme Bachelot-Narquin, Ministre français de la Jeunesse, de la santé et des sports.


Le fils de Patricia Poupard et d'Alain Flèche, né en 1993 à Bordeaux, n’avait que trois ans quand il a reproché des abus sexuels à son père. Bernard Bertossa, un juge suisse, a fait apparaître que l’enfant était une victime du réseau Zandvoort, qui porte le nom du port hollandais, où une victime a mené Marcel Vervloesem, directeur d'un ONG belge, a plus de 100.000 de photos de pornographie et tortures d’enfants. Le juge Bertossa a invité Patricia Poupard par commission rogatoire, à visionner le fichier à Genève, le 14 juillet 2000, sans expliquer le motif de ses soupçons. Elle a reconnu le fils d’une de ses amies. Son propre fils s’est reconnu sur la photo d'un enfant, qu’un adulte positionne pour exposer un anus dilaté.

L’instruction du dossier Zandvoort obligeait à rouvrir le dossier Coral, car ils comportent tout deux la même photo d’un homme identifié comme étant un magistrat français, qui apparaît déculotté avec un enfant de 11 ans. Plus de 300 personnalités du monde politique, judiciaire, médical et journalistique avaient été mises en cause avec lui en 1982. Ceci explique les énormes moyens mis en œuvre pour piéger les parents de victimes, à commettre les erreurs qui permettront de les anéantir. Partout où le réseau passe, les enfants sont placés en institutions ou condamnés à vivre avec ceux a qui ils reprochent des abus, avant que ceux-ci n’aient à répondre des procédures pénales à leur encontre.

En Suisse, un député, également haut fonctionnaire et directeur d’une ONG de la protection de l’enfance, qui avait invité le magistrat déculotté à un colloque en 1996, persuadait les mères de rester en Suisse. Il leur promettait un asile politique, que la Suisse n’avait jamais accordé à un ressortissant d’état de droit. Au même moment, le magistrat déculotté, avec les experts français de la protection de l’enfance, faisait voter des lois en France, pour envoyer ces mères en prison pour enlèvement parental, sans possibilité de grâce présidentielle. Une trentaine de mères françaises sont tombées dans le piège, mais également des belges et des espagnoles.

La juge Danielle RINGOT a prononcé, le 20 mars 2003, le plus célèbre non-lieu de l’histoire française, en l’absence de 88.539 pièces, qui avaient été oubliées en Belgique et en Hollande. Elle a ainsi libéré tous les mis en cause, dont les 300 personnalités françaises, sur base d’un dixième du dossier. Elle a aussi ouvert la porte de la prison aux mères qui avaient été trompée par l’offre d’asile politique. Patricia Poupard, tombée dans le piège, a été arrêtée par Interpol en Suisse et incarcérée en France le 1er avril 2004, à Gradignan.

Juges et psychiatres n'ont pas retenu les constats médicaux établissant les violences de son ex-mari sur elle, ou les analyses du laboratoire Brunnhof AG de Bern, qui prouvent que son fils était porteur d’une maladie vénérienne à 7 ans. Ils n'ont pas demandé au Juge Bertossa le motif de ses soupçons. Ils l’ont condamnée, sous prétexte de "délires paranoïaques", le 27 août 2004, à 18 mois de prison dont 9 mois avec sursis. Elle est fichée dans un casier judiciaire qui la présente comme l’une des plus dangereuses criminelles de France. La Cour de cassation, alors présidée par un ami du magistrat déculotté, a mis 10 mois ½ pour rejeter son pourvoi, en dépit de la loi qui ne permettait pas qu’elle soit objet d’incarcération préventive plus de 4 mois.

Patricia Poupard a enduré des traitements inhumains et dégradants en prison, mis en œuvre dans le cadre d’une technique de lavage de cerveau nommée "snapping", qui vise à transformer le sujet en légume, ou le mener à l’autodestruction. Neuf mois d’exactions n’y étant pas parvenu, elle a été internée en violation de toutes les lois françaises, lourdement droguée puis relâchée sans désintoxication. Elle a eu la force de se désintoxiquer seule, ce qui démontre une grande force de caractère.

S'il est tellement utile de condamner les parents sur base de ce non-lieu prononcé en l’absence de 88.539 pièces au dossier, c'est que cela dégoûtent les victimes de demander justice lorsqu'ils arrivent à leur majorité. Cela pose ainsi la question de la motivation réelle du tribunal de Bordeaux, pour priver Patricia Poupard d’assistance judiciaire, alors qu’elle est réduite à une allocation de survie pour personnes handicapée, (COTOREP).

Si Patricia Poupard était une proie idéale, c’est que sa mère avait trouvé un moyen pour voir davantage son petit-fils. Elle n’a eu aucun remords à soutenir son beau-fils, alors qu’il avait songé à un abandon de paternité. Elle a assuré à sa fille des avocats qui ont omis de demander sa libération, alors que la loi française le permettait, dans les heures qui suivaient sa condamnation. Elle a été privée de liberté 10 mois ½, alors que 4 mois et 27 jours couvraient la totalité de la peine effective.

Patricia Poupard a été escroquée de ses affaires personnelles et de sa bijouterie (soit l’héritage de son fils), sans que la justice ne lui accorde accès au dossier judiciaire. Mais Alain Flèche, qui vivait dans une camionnette avant leur rencontre, vit à présent des bénéfices d’une bijouterie.

Non content de l’étonnante inversion de fortune en sa faveur, il a obtenu, par son avocate, Alexandra Baudouin, membre du CRIC à Bordeaux, Centre de Recherche d'Information et de Consultation sur les Droits de l'Enfant de Bordeaux, à la faire condamner à lui payer des dommages moraux, ironiquement pour avoir demandé la garde de son fils, selon l'article 10 de la convention des droits de l'enfant. Il trouve des Huissiers de Justice, qui prétendent pouvoir saisir son allocation de survie, que la loi française garantit insaisissable.

Mère et fils ont été coupés de contact durant plus de trois ans, avec seules quelques minutes de téléphone de temps à autres, tous les 2 ou 6 mois. Ce 23 décembre 2008, pour la première fois, ils ont pu se voir deux heures. Le jeune a actuellement 15 ans. Il dit que son père voyage souvent en Indes, et l’envoie alors chez des copains ou chez des gens qu’il ne connaissait pas. Il vit dans un cocon de type sectaire. Il est traité comme un bébé, interdit de téléphoner à sa mère ou de lui donner son numéro de téléphone, comme s'il ne pouvait pas, à son âge, se faire une opinion personnelle.

La longue séparation avec sa mère a permis à la grand-mère de lui faire craindre "une tentative d’enlèvement", bien peu réaliste, puisqu'une personne handicapée aurait bien des difficultés à maîtriser un jeune de 1m80. Tout son entourage s’appuie de jugements en violation des lois internationales, pour le convaincre de la normalité d’une maladie vénérienne à l’âge de sept ans, ou lui répondre qu'ils ne sont pas concernés. Il lui est induit la crainte de parler à ses amis de sa situation, de manière à réduire le danger de débats contradictoires.

Patricia Poupard n'a jamais enlevé son fils: ils ont tout deux été victimes d'un piège, par une offre malhonnête d'asile politique. Nous joignons nos voix pour la soutenir afin qu’il lui soit octroyé son droit fondamental à une assistance judiciaire afin d'obtenir :

- Son droit à l'égalité des armes pour sa défense lors des procédures judiciaires ;

- La garde totale de son fils et en l’attente, des contacts réguliers entre eux ;

- Sa réhabilitation et la reconnaissance des victimes de Zandvoort ;

- L’instruction de l’affaire Zandvoort sur base d’un dossier complet ;

- Pour que le Conseil de la Magistrature demande aux magistrats en charge du dossier de répondre de la raison pour laquelle ils n’ont jamais prétendu considérer la maladie vénérienne d’un enfant de 7 ans.



POUR SIGNER LA PÉTITION :
help !http://www.droitfondamental.eu/phpBB3/viewtopic.php?f=19&t=237

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